Le sénateur américain John McCain a appelé mardi les Etats-Unis à envisager d'armer l'opposition syrienne, qui fait face à une violente répression de la part du régime du président Bachar al-Assad.
"Nous devrions commencer à envisager toutes les options, y compris celle consistant à armer l'opposition. Le bain de sang doit cesser", a déclaré à des journalistes le candidat malheureux à la présidentielle de 2008.
Le sénateur républicain, qui s'exprimait avant une rencontre avec le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman en visite aux Etats-Unis, a également appelé à la création d'un "groupe de contact, une coalition" pour la Syrie, sans donner plus détail.
Samedi, Moscou et Pékin ont opposé leur veto à une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies condamnant la répression en Syrie, où les violences meurtrières ont redoublé ces derniers jours. Rien que lundi, des militants ont dénombré 69 morts, notamment dans un assaut contre la ville rebelle de Homs.
Face à ces violences, les Etats-Unis ont décidé lundi de fermer leur ambassade en Syrie et de rapatrier tout leur personnel. Le président américain Barack Obama refuse cependant d'envisager une intervention militaire et souhaite poursuivre la voie diplomatique avec Damas.
Plusieurs pays européens ont également rappelé mardi leurs ambassadeurs de Syrie pour dénoncer la poursuite de la répression contre les civils, alors qu'un nouveau train de sanctions européennes est en préparation contre le régime Assad.
L'élu démocrate John Kerry, qui préside la commission des Affaires étrangères du Sénat américain, a estimé de son côté que la crise en Syrie était "très différente" du cas libyen et appelé la Russie et la Chine à soutenir l'action de l'ONU contre le régime de Bachar al-Assad.
"La Syrie est très différente" des événements qui ont eu lieu en Libye l'année dernière et poussé les forces de l'Otan à envoyer des frappes contre le régime de Mouammar Kadhafi, a constaté John Kerry.
"C'est un champ d'action très différent, avec des joueurs très différents, et des perspectives très différentes", a ajouté le sénateur du Massachusetts (nord-est) et ancien candidat à l'élection présidentielle de 2004.
M. Kerry a recommandé "une approche différente" (avec la Syrie): "nous devons condamner ce qui est en train de se passer et travailler avec zèle avec la Chine et la Russie pour voir si nous pouvons les pousser à changer de position".
"Nous devrions commencer à envisager toutes les options, y compris celle consistant à armer l'opposition. Le bain de sang doit cesser", a déclaré à des journalistes le candidat malheureux à la présidentielle de 2008.
Le sénateur républicain, qui s'exprimait avant une rencontre avec le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman en visite aux Etats-Unis, a également appelé à la création d'un "groupe de contact, une coalition" pour la Syrie, sans donner plus détail.
Samedi, Moscou et Pékin ont opposé leur veto à une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies condamnant la répression en Syrie, où les violences meurtrières ont redoublé ces derniers jours. Rien que lundi, des militants ont dénombré 69 morts, notamment dans un assaut contre la ville rebelle de Homs.
Face à ces violences, les Etats-Unis ont décidé lundi de fermer leur ambassade en Syrie et de rapatrier tout leur personnel. Le président américain Barack Obama refuse cependant d'envisager une intervention militaire et souhaite poursuivre la voie diplomatique avec Damas.
Plusieurs pays européens ont également rappelé mardi leurs ambassadeurs de Syrie pour dénoncer la poursuite de la répression contre les civils, alors qu'un nouveau train de sanctions européennes est en préparation contre le régime Assad.
L'élu démocrate John Kerry, qui préside la commission des Affaires étrangères du Sénat américain, a estimé de son côté que la crise en Syrie était "très différente" du cas libyen et appelé la Russie et la Chine à soutenir l'action de l'ONU contre le régime de Bachar al-Assad.
"La Syrie est très différente" des événements qui ont eu lieu en Libye l'année dernière et poussé les forces de l'Otan à envoyer des frappes contre le régime de Mouammar Kadhafi, a constaté John Kerry.
"C'est un champ d'action très différent, avec des joueurs très différents, et des perspectives très différentes", a ajouté le sénateur du Massachusetts (nord-est) et ancien candidat à l'élection présidentielle de 2004.
M. Kerry a recommandé "une approche différente" (avec la Syrie): "nous devons condamner ce qui est en train de se passer et travailler avec zèle avec la Chine et la Russie pour voir si nous pouvons les pousser à changer de position".
Le sénateur américain John McCain a appelé mardi les Etats-Unis à envisager d'armer l'opposition syrienne, qui fait face à une violente répression de la part du régime du président Bachar al-Assad."Nous devrions commencer à envisager toutes les options, y compris celle consistant à armer l'opposition. Le bain de sang doit cesser", a déclaré à des journalistes le candidat malheureux...
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