« Que l’État assume ses responsabilités. Soit il est d’accord, soit qu’il dénonce et réprime ses groupes qui menacent les artistes mondiaux (...). Ce n’est pas la première fois que cela se produit. Des films ont été interdits. Six ou sept artistes n’ont pu se rendre au Liban. Il est question maintenant d’interdire à des vedettes de basket-ball de venir jouer ici. Nous nous isolons, et le Liban est devenu un marécage pour les esprits moyenâgeux, ce qui est inadmissible. Le Liban a pour mission l’ouverture et la culture. Il ne peut pas se recroqueviller sur lui-même », a noté M. Gemayel.
« C’est le plus beau cadeau que nous puissions faire à Israël : que les artistes se rendent là-bas et qu’ils ne viennent plus chez nous », a-t-il ajouté. Et de conclure : « Ce n’est pas ainsi, par ces moyens rétrogrades et barbares, qu’on lutte contre Israël, mais en faisant à nouveau du Liban et de Beyrouth un plaque tournante de l’art et de la culture dans le monde. »
commentaires (4)
Pauvre pauvre Jabbour qui essaye inlassablement de se consoler de ne pas connaître le Liban !... Jabbour, vous devriez encore réviser, vous ne connaissez pas bien votre leçon apprise dans les bouquins, les photos ou toute autre documentation que vous vous acharnez à consulter pour pallier votre inculture, votre ignorance et votre naïveté qui vous conduisent à approuver une censure du fait que des scènes sont tournées au centre-ville (non mais je rêve), à vous exciter rien qu'à la vue subliminale d'une photo du barbu enterré, et à confondre érotisme et pornographie. Poverino Jabbour.
Robert Malek
08 h 38, le 21 janvier 2012