La 80e édition du Rallye Monte-Carlo, de retour au calendrier du championnat du monde des rallyes (WRC), a tous les ingrédients pour passionner les amateurs de rallye, et pas seulement les nombreux fans de Sébastien Loeb (Citroën DS3), l’octuple champion du monde.
Le roi Loeb n’a plus gagné en principauté depuis 2008, lors de sa cinquième victoire (et deux deuxième places) en sept participations au volant d’une voiture pouvant jouer la gagne.
Le Français est le grandissime favori de ce Monte-Carlo qui revient en WRC, après trois ans (2009 à 2011) d’intermède en IRC (Challenge intercontinental des rallyes), le championnat moins côté.
Le président de la Fédération internationale de l’automobile (FIA), Jean Todt, a tenu sa promesse de campagne, le retour du « Monte-Carlo » en WRC. Le départ est prévu ce soir à Valence.
Le roi Loeb n’a plus gagné en France depuis octobre 2010, lors de son triomphe au rallye d’Alsace. Il ne s’intéresse pas à l’histoire, aux records et aux statistiques, mais il sait que le Monte-Carlo est une épreuve à part... et la préférée de son fidèle copilote monégasque, Daniel Elena, huit fois champion du monde, comme lui.
Chez Citroën Racing, l’hiver a été agité. Un Belge, Yves Matton, a remplacé Olivier Quesnel comme directeur et un Finlandais, Mikko Hirvonen, a succédé à Sébastien Ogier, parti chez Volkswagen, comme coéquipier de Loeb. Trois fois vice-champion du monde, derrière Loeb, Mikko a annoncé qu’il se contenterait de quelques victoires cette saison.
L’opposition aussi s’est réorganisée. Ford a prolongé de deux ans son partenariat avec M-Sport et le départ de Hirvonen chez les Rouges a permis au Norvégien Petter Solberg de retrouver une place de pilote d’usine, après trois saisons de podiums et de déceptions dans des Citroën privées.
Aux côtés de Solberg et du Finlandais Jari-Matti Latvala, promu leader, M-Sport alignera trois autres Fiesta, dont une pilotée par le revenant le Français François Delecour, 50 ans, vainqueur du Monte-Carlo en 1994, dans une Ford Escort Cosworth, et 5e l’an dernier, en IRC.
Avec Loeb et Delecour, trois autres anciens vainqueurs seront au départ de cette 80e édition qui a attiré plus de 80 engagés de 27 pays : Ogier, Hirvonen et le Français Bryan Bouffier, qui se sont succédé au palmarès pendant la période IRC, dans des voitures un peu moins puissantes.
© AFP
Le roi Loeb n’a plus gagné en principauté depuis 2008, lors de sa cinquième victoire (et deux deuxième places) en sept participations au volant d’une voiture pouvant jouer la gagne.
Le Français est le grandissime favori de ce Monte-Carlo qui revient en WRC, après trois ans (2009 à 2011) d’intermède en IRC (Challenge intercontinental des rallyes), le championnat moins côté.
Le président de la Fédération internationale de l’automobile (FIA), Jean Todt, a tenu sa promesse de campagne, le retour du « Monte-Carlo » en WRC. Le départ est prévu ce soir à Valence.
Le roi Loeb n’a plus gagné en France depuis octobre 2010, lors de son triomphe au rallye d’Alsace. Il ne s’intéresse pas à l’histoire, aux records et aux statistiques, mais il sait que le Monte-Carlo est une épreuve à part... et la préférée de son fidèle copilote monégasque, Daniel Elena, huit fois champion du monde, comme lui.
Chez Citroën Racing, l’hiver a été agité. Un Belge, Yves Matton, a remplacé Olivier Quesnel comme directeur et un Finlandais, Mikko Hirvonen, a succédé à Sébastien Ogier, parti chez Volkswagen, comme coéquipier de Loeb. Trois fois vice-champion du monde, derrière Loeb, Mikko a annoncé qu’il se contenterait de quelques victoires cette saison.
L’opposition aussi s’est réorganisée. Ford a prolongé de deux ans son partenariat avec M-Sport et le départ de Hirvonen chez les Rouges a permis au Norvégien Petter Solberg de retrouver une place de pilote d’usine, après trois saisons de podiums et de déceptions dans des Citroën privées.
Aux côtés de Solberg et du Finlandais Jari-Matti Latvala, promu leader, M-Sport alignera trois autres Fiesta, dont une pilotée par le revenant le Français François Delecour, 50 ans, vainqueur du Monte-Carlo en 1994, dans une Ford Escort Cosworth, et 5e l’an dernier, en IRC.
Avec Loeb et Delecour, trois autres anciens vainqueurs seront au départ de cette 80e édition qui a attiré plus de 80 engagés de 27 pays : Ogier, Hirvonen et le Français Bryan Bouffier, qui se sont succédé au palmarès pendant la période IRC, dans des voitures un peu moins puissantes.
© AFP
La 80e édition du Rallye Monte-Carlo, de retour au calendrier du championnat du monde des rallyes (WRC), a tous les ingrédients pour passionner les amateurs de rallye, et pas seulement les nombreux fans de Sébastien Loeb (Citroën DS3), l’octuple champion du monde.Le roi Loeb n’a plus gagné en principauté depuis 2008, lors de sa cinquième victoire (et deux deuxième places)...