le mufti de la République, le patriarche maronite, le vice-président du Conseil supérieur chiite, Abdel Amir Kabalan, le cheikh Akl druze, Naïm Hassan, le président du Conseil supérieur alaouite, Assad Assi, le métropolite grec-orthodoxe Élias Audi, le patriarche grec-catholique Grégoire III, le patriarche syrien-catholique Ignace Youssef III Younan, le patriarche arménien-orthodoxe Aram Ier, le patriarche arménien-catholique Nersès Bedros XIX, le chef de chaldéens au Liban, Mgr Michel Kassarji, le chef des latins du Liban, Mgr Boulos Dahdah, l’évêque des arméniens au Liban, Mgr Kegham Khatcharian, l’évêque catholique de Saïda Élie Béchara Haddad, le président de l’Église évangélique, le révérend Salim Sahyouni, le chef des coptes au Liban et en Syrie, le P. Roueiss de Jérusalem, le président du Conseil supérieur de la communauté chaldéenne, Antoine Hakim, et l’évêque maronite de Saïda, Tanios Khoury.
À ces personnalités religieuses il faut ajouter les membres du Comité national pour le dialogue islamo-chrétien, MM. Mohammad Sammak, Michel Abs, Jean Salmanian, Camille Menassa, ainsi que MM. Ali Hassan, Ahmad Assi et Saleh Hazifé.
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Et Madame Marie Masboungi pose une grande question. Je remarque que des représentants des plus petites communautés y étaient présents. Pourquoi pas un représentant de la communauté Syriaque Orthodoxe? Oubli ? Eclairez-nous. Anastase Tsiris
Anastase Tsiris
13 h 42, le 28 septembre 2011