Sa disparition soudaine continue de nous laisser sans voix. Ce départ, comme il lui ressemble peu, lui l’homme avide de vie, au cœur d’enfant, l’éternel optimiste – supposons le problème résolu, se plaisait-il à répéter –, toujours au service des autres, tous les autres et en toute circonstance. En témoignent tous ceux qui étaient là pour lui dire adieu. Ce jour-là, il y avait des larmes, bien sûr, mais surtout, comme un rai de lumière, ce souvenir lumineux qui ne disparaîtra jamais.
Ceux qui l’ont pleuré, aimé, ceux qui ont prié pour lui, comment les en remercier ? Repose en paix, Youssef mon frère, ton souvenir demeure vivace dans nos cœurs. Pour toujours.
Ta sœur,
Ikram
Les plus commentés
Des « zones sûres » en Syrie pour les réfugiés ? Trop tôt pour le dire, persistent les ONG
Faut-il craindre la route de l’Aéroport international de Beyrouth ?
Au royaume de France, la Palestine muselée