« Ce protocole repose sur deux principes », a expliqué le ministre Waël Bou Faour. Il vise dans un premier temps à « réhabiliter les centres sociaux du ministère des Affaires sociales dans toutes les régions libanaises, tant au niveau humain, qu’administratif et technique » afin d’améliorer la qualité des services. Il a également pour objectif de mettre en place « des projets efficaces de développement social » à long terme, qui permettraient la création d’emplois et « encourageraient les habitants des zones rurales à rester dans leurs régions ».
C’est dans le cadre de la lutte contre la pauvreté au Liban qu’a été ratifié ce protocole d’accord. « Il y a trop de pauvreté au Liban », a noté le ministre. Malheureusement, « la polarisation politique a occulté le profond écart entre les classes sociales », a-t-il poursuivi. Il a aussi dénoncé l’absence d’un plan global de lutte contre la pauvreté, mis en place par le gouvernement. Il a aussi promis le lancement prochain d’un projet destiné aux familles vivant dans l’extrême pauvreté.
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