L'Iran a été invité à participer à un forum économique du 18 au 20 mai aux Etats-Unis, et va y envoyer une délégation d'hommes d'affaires, rapporte jeudi l'agence Isna.
"Etant donné les sanctions en cours, l'hôte aurait pu choisir de ne pas inviter l'Iran. Mais heureusement (...), ils ne prêtent pas attention à ces sanctions et ils ont invité des représentants du secteur privé iranien", a déclaré Mohammad Reza Sabzalipour, à la tête du World Trade Center (WTC) en Iran.
Il a ajouté que 16 membres de la délégation qui se rendra à Kansas City (Etats-Unis) au forum international sur le développement économique intitulé Futurallia, travaillent dans la "production de matériaux chimiques, d'appareils ménagers, de produits alimentaires et de chocolat".
"L'intention de cette délégation est seulement de faire des affaires et ils n'ont pas d'autre projet", a-t-il insisté.
Téhéran et Washington n'ont plus de relations diplomatiques depuis 1980, après la Révolution islamique de 1979 qui avait entraîné la chute du Chah Mohamed Reza Pahlavi soutenu par les Etats-Unis.
Depuis, les Etats-Unis ont imposé une série de mesures unilatérales contre l'Iran, notamment de sévères mesures visant l'économie, qu'ils ont renforcées récemment en raison du programme nucléaire controversé de Téhéran.
Les sanctions américaines interdisent presque tout commerce ou coopération bancaire entre des sociétés américaines et iraniennes.
Washington fait également pression sur d'autres pays pour qu'ils instaurent un embargo économique sur la République islamique.
L'Iran est également visé par une série de six résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU, dont quatre assorties de sanctions économiques et politiques dont un embargo sur les armes, ainsi que par des sanctions imposées par l'Union européenne.
Les Occidentaux soupçonnent Téhéran de chercher, malgré ses démentis répétés, à se doter d'une capacité nucléaire militaire sous couvert de son ambitieux programme civil.
"Etant donné les sanctions en cours, l'hôte aurait pu choisir de ne pas inviter l'Iran. Mais heureusement (...), ils ne prêtent pas attention à ces sanctions et ils ont invité des représentants du secteur privé iranien", a déclaré Mohammad Reza Sabzalipour, à la tête du World Trade Center (WTC) en Iran.
Il a ajouté que 16 membres de la délégation qui se rendra à Kansas City (Etats-Unis) au forum international sur le développement économique intitulé Futurallia, travaillent dans la "production de matériaux chimiques, d'appareils ménagers, de produits alimentaires et de chocolat".
"L'intention de cette délégation est seulement de faire des affaires et ils n'ont pas d'autre projet", a-t-il insisté.
Téhéran et Washington n'ont plus de relations diplomatiques depuis 1980, après la Révolution islamique de 1979 qui avait entraîné la chute du Chah Mohamed Reza Pahlavi soutenu par les Etats-Unis.
Depuis, les Etats-Unis ont imposé une série de mesures unilatérales contre l'Iran, notamment de sévères mesures visant l'économie, qu'ils ont renforcées récemment en raison du programme nucléaire controversé de Téhéran.
Les sanctions américaines interdisent presque tout commerce ou coopération bancaire entre des sociétés américaines et iraniennes.
Washington fait également pression sur d'autres pays pour qu'ils instaurent un embargo économique sur la République islamique.
L'Iran est également visé par une série de six résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU, dont quatre assorties de sanctions économiques et politiques dont un embargo sur les armes, ainsi que par des sanctions imposées par l'Union européenne.
Les Occidentaux soupçonnent Téhéran de chercher, malgré ses démentis répétés, à se doter d'une capacité nucléaire militaire sous couvert de son ambitieux programme civil.
L'Iran a été invité à participer à un forum économique du 18 au 20 mai aux Etats-Unis, et va y envoyer une délégation d'hommes d'affaires, rapporte jeudi l'agence Isna."Etant donné les sanctions en cours, l'hôte aurait pu choisir de ne pas inviter l'Iran. Mais heureusement (...), ils ne prêtent pas attention à ces sanctions et ils ont invité des représentants du secteur privé...
Les plus commentés
Le faux pas de Samir Geagea… et de l’opposition ?
L'UE annonce un financement pour le Liban d'un milliard d'euros, jusqu'en 2027
« Lorsqu’il s’agit de critiquer Israël, l’université ne veut rien entendre »