Ces dernières années, la Turquie a renforcé ses relations avec ses voisins arabes, opérant, par la même occasion, une percée dans la diplomatie et la géopolitique régionales. Quelles sont les conséquences, pour Ankara, des bouleversements profonds qui agitent le Moyen-Orient depuis le début de l'année, de ce vent révolutionnaire qui balaie ou secoue les régimes autoritaires ? Ces mouvements renforcent-ils la position d'Ankara ou, au contraire, l'affaiblissent-ils ? Dans quelle mesure et dans quelles limites la Turquie peut-elle être un modèle pour les pays engagés dans une transition démocratique ? C'est à ces questions qu'ont tenté de répondre un groupe d'analystes et d'experts rassemblés mardi dernier dans le cadre d'une conférence organisée à Beyrouth par le Carnegie Middle East Center, la Fondation Heinrich Böll et la Fondation pour les études sociales et économiques turques (Tesev).
Ces dernières années, la Turquie a renforcé ses relations avec ses voisins arabes, opérant, par la même occasion, une percée dans la diplomatie et la géopolitique régionales. Quelles sont les conséquences, pour Ankara, des bouleversements profonds qui agitent le Moyen-Orient depuis le début de l'année, de ce vent révolutionnaire qui balaie ou secoue les régimes autoritaires ? Ces...
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