Le groupe de travail de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la préparation pour les pandémies grippales a abouti samedi, au terme d'intenses négociations, à un accord prévoyant à la fois le partage des virus de la grippe et des bénéfices découlant de leur utilisation.
Quatre ans après sa création, le groupe de travail, composé de représentants d'États membres, s'est réuni la semaine dernière à Genève dans l'espoir de trouver un accord pour le partage des virus de grippe. Celui-ci a été scellé samedi matin « après une nuit intense de discussions », a rapporté à l'AFP une porte-parole de l'OMS, Fadela Chaïb. Le document « conclut au partage des virus de la grippe » et valide aussi l'idée de « partager les bénéfices qui découlent de l'utilisation de ces échantillons », a-t-elle précisé.
Le document adopté « conclut des négociations commencées en novembre 2007 après l'apparition du virus de la grippe aviaire » qui avait semé « la peur », a fait valoir la porte-parole.
Le texte de l'accord, qui n'a pas encore été communiqué aux médias, devra être proposé à la prochaine assemblée générale de l'OMS en mai.
Mardi, le président du groupe de travail, l'ambassadeur mexicain Juan José Gómez Camacho, avait souligné que malgré l'expérience du H1N1 déclarée première pandémie du siècle en juin 2009, le monde n'était toujours pas armé correctement contre un virus pandémique. Les pays devaient encore relever plusieurs « défis », a-t-il estimé.
Il avait ainsi relevé la nécessité d'« augmenter de façon spectaculaire les capacités de production de vaccins (...) en particulier dans les pays en développement » et de développer les infrastructures requises pour distribuer les vaccins et s'assurer que ces derniers soient « abordables » pour tous.
Quatre ans après sa création, le groupe de travail, composé de représentants d'États membres, s'est réuni la semaine dernière à Genève dans l'espoir de trouver un accord pour le partage des virus de grippe. Celui-ci a été scellé samedi matin « après une nuit intense de discussions », a rapporté à l'AFP une porte-parole de l'OMS, Fadela Chaïb. Le document « conclut au partage des virus de la grippe » et valide aussi l'idée de « partager les bénéfices qui découlent de l'utilisation de ces échantillons », a-t-elle précisé.
Le document adopté « conclut des négociations commencées en novembre 2007 après l'apparition du virus de la grippe aviaire » qui avait semé « la peur », a fait valoir la porte-parole.
Le texte de l'accord, qui n'a pas encore été communiqué aux médias, devra être proposé à la prochaine assemblée générale de l'OMS en mai.
Mardi, le président du groupe de travail, l'ambassadeur mexicain Juan José Gómez Camacho, avait souligné que malgré l'expérience du H1N1 déclarée première pandémie du siècle en juin 2009, le monde n'était toujours pas armé correctement contre un virus pandémique. Les pays devaient encore relever plusieurs « défis », a-t-il estimé.
Il avait ainsi relevé la nécessité d'« augmenter de façon spectaculaire les capacités de production de vaccins (...) en particulier dans les pays en développement » et de développer les infrastructures requises pour distribuer les vaccins et s'assurer que ces derniers soient « abordables » pour tous.
Le groupe de travail de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la préparation pour les pandémies grippales a abouti samedi, au terme d'intenses négociations, à un accord prévoyant à la fois le partage des virus de la grippe et des bénéfices découlant de leur utilisation.Quatre ans après sa création, le groupe de travail, composé de représentants d'États membres, s'est réuni...
commentaires (0)
Commenter