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Culture

Rubén Sánchez , « la rue pour école »

Rubén Sánchez devant sa fresque murale à l’institut Cervantès.

Parmi les artistes exposés à la villa Audi, le peintre et artiste mural Rubén Sánchez, de passage à Beyrouth, y a réalisé deux fresques. L'une sur l'enceinte d'un terre-plein au centre-ville et la seconde sur l'un des murs intérieurs de l'institut Cervantès de Beyrouth.
Deux œuvres de style graffiti, réalisées à la bombe aérosol, dans lesquelles on retrouve des touches de cubisme, quelque chose du flamenco relevé d'une note jazzy...Autant d'influences que revendique cet artiste autodidacte, qui a eu « la rue pour école ». Et qui, outre le graffiti, y a appris l'illustration, la vidéo ou encore l'animation. Cet artiste polyvalent et doué, dont les œuvres sont passées, ces dernières années, des murs de sa ville aux galeries espagnoles et européennes, est actuellement directeur artistique de Alai Skateboards - il est fou de planches à roulettes depuis son plus jeune âge -, a collaboré à des marques comme Eastpak ou Lego, pour ne citer que les plus connues.
À Beyrouth, Rubén Sánchez a également animé un atelier à l'ALBA destiné à faire prendre conscience aux étudiants de cette université que « n'importe quel matériau peut servir de moyen d'expression artistique ». Il a évoqué, au cours de cet atelier, « la transition du spray à l'acrylique, la réutilisation d'éléments trouvés, ainsi que le passage du mur à la toile et de la rue à l'atelier de l'art urbain contemporain ».
Parmi les artistes exposés à la villa Audi, le peintre et artiste mural Rubén Sánchez, de passage à Beyrouth, y a réalisé deux fresques. L'une sur l'enceinte d'un terre-plein au centre-ville et la seconde sur l'un des murs intérieurs de l'institut Cervantès de Beyrouth. Deux œuvres de style graffiti, réalisées à la bombe aérosol, dans lesquelles on retrouve des touches de...

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