Louis van Gaal a donné son assentiment à son ancien adjoint Andries Jonker avant qu'il n'accepte la proposition du Bayern Munich de le remplacer jusqu'à la fin de la saison, a indiqué hier le nouvel entraîneur du champion d'Allemagne en titre.
« Lorsque les dirigeants m'ont proposé le poste, je me suis retrouvé dans une situation difficile. J'ai appelé Louis une fois, deux fois, et il m'a dit quelque chose de très important pour moi : "Si j'étais à ta place, j'accepterais" », a expliqué Jonker lors de sa première conférence de presse.
« Il m'a aussi assuré que nous resterions amis. J'ai beaucoup de respect pour lui, c'est important pour moi qu'il me soutienne », a-t-il poursuivi.
Jonker, 48 ans, a suivi Van Gaal à l'Ajax Amsterdam, au FC Barcelone et à la Fédération néerlandaise, avant de rejoindre le Bayern Munich en juillet 2009.
Le Bayern lui avait demandé cette semaine de rester en Bavière la saison prochaine pour entraîner l'équipe réserve et s'occuper de la formation, offre qu'il avait acceptée.
Après le nul contre Nuremberg (1-1) samedi, les dirigeants lui ont demandé de remplacer Van Gaal, licencié avec effet immédiat.
Jonker, qui est le sixième entraîneur du Bayern depuis 2004, a reconnu qu'il était « déçu et en colère » du déroulement de la saison, mais s'est gardé de critiquer Van Gaal qui, a-t-il rappelé, « a fait du très, très bon travail et réussi en 2010 la meilleure saison de l'histoire du Bayern ».
Sa première décision en tant qu'entraîneur du Bayern a été de convier, « avec l'accord des dirigeants et du capitaine, Louis (van Gaal) à faire ses adieux à l'équipe » lundi matin.
« Je travaillerai à ma façon, je suis quelqu'un de direct, je dis les choses », a-t-il insisté.
« L'important, c'est d'atteindre l'objectif qu'on m'a fixé. La pression la plus forte, c'est celle qu'on se met nous-mêmes : les joueurs veulent absolument disputer la Ligue des champions », a conclu l'entraîneur bavarois qui affrontera dimanche son successeur, Jupp Heynckes, encore aux commandes du Bayer Leverkusen.
©AFP
« Lorsque les dirigeants m'ont proposé le poste, je me suis retrouvé dans une situation difficile. J'ai appelé Louis une fois, deux fois, et il m'a dit quelque chose de très important pour moi : "Si j'étais à ta place, j'accepterais" », a expliqué Jonker lors de sa première conférence de presse.
« Il m'a aussi assuré que nous resterions amis. J'ai beaucoup de respect pour lui, c'est important pour moi qu'il me soutienne », a-t-il poursuivi.
Jonker, 48 ans, a suivi Van Gaal à l'Ajax Amsterdam, au FC Barcelone et à la Fédération néerlandaise, avant de rejoindre le Bayern Munich en juillet 2009.
Le Bayern lui avait demandé cette semaine de rester en Bavière la saison prochaine pour entraîner l'équipe réserve et s'occuper de la formation, offre qu'il avait acceptée.
Après le nul contre Nuremberg (1-1) samedi, les dirigeants lui ont demandé de remplacer Van Gaal, licencié avec effet immédiat.
Jonker, qui est le sixième entraîneur du Bayern depuis 2004, a reconnu qu'il était « déçu et en colère » du déroulement de la saison, mais s'est gardé de critiquer Van Gaal qui, a-t-il rappelé, « a fait du très, très bon travail et réussi en 2010 la meilleure saison de l'histoire du Bayern ».
Sa première décision en tant qu'entraîneur du Bayern a été de convier, « avec l'accord des dirigeants et du capitaine, Louis (van Gaal) à faire ses adieux à l'équipe » lundi matin.
« Je travaillerai à ma façon, je suis quelqu'un de direct, je dis les choses », a-t-il insisté.
« L'important, c'est d'atteindre l'objectif qu'on m'a fixé. La pression la plus forte, c'est celle qu'on se met nous-mêmes : les joueurs veulent absolument disputer la Ligue des champions », a conclu l'entraîneur bavarois qui affrontera dimanche son successeur, Jupp Heynckes, encore aux commandes du Bayer Leverkusen.
©AFP
Louis van Gaal a donné son assentiment à son ancien adjoint Andries Jonker avant qu'il n'accepte la proposition du Bayern Munich de le remplacer jusqu'à la fin de la saison, a indiqué hier le nouvel entraîneur du champion d'Allemagne en titre.« Lorsque les dirigeants m'ont proposé le poste, je me suis retrouvé dans une situation difficile. J'ai appelé Louis une fois, deux fois, et il...