Le taux de croissance de l'Egypte pourrait chuter à 3% au cours de l'année fiscale en cours, contre 5,8% initialement prévu, si les mouvements sociaux se poursuivent dans le pays, a estimé jeudi le ministre des Finances Samir Radwane.
"Dans le cas où continueraient ces protestations et les revendications (...) il est prévu que le taux de croissance économique baisse à 3% durant l'année fiscale" qui s'achève en juin, contre une prévision initiale de 5,8%, a-t-il déclaré, selon des propos rapportés par l'agence officielle Mena.
"Le déficit budgétaire a commencé à monter et il est actuellement de 8,5%. Si les protestations et revendications (..) non justifiées se poursuivent, il est possible que le déficit arrive à 10%, et c'est inquiétant", a-t-il ajouté.
L'Egypte connaît depuis le départ du président Hosni Moubarak le 11 février une vague de grèves et de revendications sociales qui pèsent sur une économie déjà affectée par la chute du tourisme et les incertitudes politiques.
La Bourse du Caire est fermée depuis plus d'un mois et aucune date n'a été fixée pour la reprise des cotations.
"Dans le cas où continueraient ces protestations et les revendications (...) il est prévu que le taux de croissance économique baisse à 3% durant l'année fiscale" qui s'achève en juin, contre une prévision initiale de 5,8%, a-t-il déclaré, selon des propos rapportés par l'agence officielle Mena.
"Le déficit budgétaire a commencé à monter et il est actuellement de 8,5%. Si les protestations et revendications (..) non justifiées se poursuivent, il est possible que le déficit arrive à 10%, et c'est inquiétant", a-t-il ajouté.
L'Egypte connaît depuis le départ du président Hosni Moubarak le 11 février une vague de grèves et de revendications sociales qui pèsent sur une économie déjà affectée par la chute du tourisme et les incertitudes politiques.
La Bourse du Caire est fermée depuis plus d'un mois et aucune date n'a été fixée pour la reprise des cotations.
Le taux de croissance de l'Egypte pourrait chuter à 3% au cours de l'année fiscale en cours, contre 5,8% initialement prévu, si les mouvements sociaux se poursuivent dans le pays, a estimé jeudi le ministre des Finances Samir Radwane."Dans le cas où continueraient ces protestations et les revendications (...) il est prévu que le taux de croissance économique baisse à 3% durant l'année...
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