La Grande-Bretagne a appelé mercredi "toutes les parties" en Libye et à Bahreïn à "faire preuve de retenue et à s'abstenir de recourir à la force" lors des manifestations anti-gouvernementales.
"Nous sommes inquiets des informations que nous avons reçues sur l'arrestation de Libyens qui avaient appelé à des manifestations ou s'étaient exprimés dans les médias, et sur des incidents violents lors de manifestations à Benghazi", dans l'est du pays, a déclaré le secrétaire d'Etat britannique chargé du Proche-Orient et de l'Afrique, Alistair Burt.
"J'appelle le gouvernement libyen à respecter le droit à se rassembler pacifiquement et la liberté d'expression, et j'appelle toutes les parties à faire preuve de retenue et à s'abstenir de recourir à la violence", a-t-il ajouté dans un communiqué.
Dans un autre communiqué, M. Burt a fait part de son "inquiétude" sur la situation à Bahreïn, après avoir reçu des informations "sur l'usage excessif de la force par la police lors de manifestations qui ont conduit à la mort de deux manifestants".
"J'appelle toutes les parties à faire preuve de retenue et de s'abstenir de recourir à la violence", a-t-il ajouté.
M. Burt a cependant "salué les progrès accomplis récemment par le gouvernement du petit archipel du Golfe en matière de réforme politique", mais il a jugé "essentiel que ce processus continue pour répondre aux aspirations légitimes pour plus de liberté politique et sociale".
Après le départ forcé des présidents tunisien et égyptien, Zine El Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak, le 14 janvier et le 11 février, le mouvement de contestation des régimes autoritaires s'est propagé dans plusieurs pays du Moyen-Orient, notamment en Libye et à Barheïn.
Dans la nuit de mardi à mercredi, la police libyenne a dispersé par la force un sit-in contre le pouvoir à Benghazi, faisant 38 blessés selon l'hôpital local. A Barheïn, où des manifestants réclament depuis lundi des réformes, deux personnes ont été tuées en début de semaine lors de la dispersion de rassemblements.
"Nous sommes inquiets des informations que nous avons reçues sur l'arrestation de Libyens qui avaient appelé à des manifestations ou s'étaient exprimés dans les médias, et sur des incidents violents lors de manifestations à Benghazi", dans l'est du pays, a déclaré le secrétaire d'Etat britannique chargé du Proche-Orient et de l'Afrique, Alistair Burt.
"J'appelle le gouvernement libyen à respecter le droit à se rassembler pacifiquement et la liberté d'expression, et j'appelle toutes les parties à faire preuve de retenue et à s'abstenir de recourir à la violence", a-t-il ajouté dans un communiqué.
Dans un autre communiqué, M. Burt a fait part de son "inquiétude" sur la situation à Bahreïn, après avoir reçu des informations "sur l'usage excessif de la force par la police lors de manifestations qui ont conduit à la mort de deux manifestants".
"J'appelle toutes les parties à faire preuve de retenue et de s'abstenir de recourir à la violence", a-t-il ajouté.
M. Burt a cependant "salué les progrès accomplis récemment par le gouvernement du petit archipel du Golfe en matière de réforme politique", mais il a jugé "essentiel que ce processus continue pour répondre aux aspirations légitimes pour plus de liberté politique et sociale".
Après le départ forcé des présidents tunisien et égyptien, Zine El Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak, le 14 janvier et le 11 février, le mouvement de contestation des régimes autoritaires s'est propagé dans plusieurs pays du Moyen-Orient, notamment en Libye et à Barheïn.
Dans la nuit de mardi à mercredi, la police libyenne a dispersé par la force un sit-in contre le pouvoir à Benghazi, faisant 38 blessés selon l'hôpital local. A Barheïn, où des manifestants réclament depuis lundi des réformes, deux personnes ont été tuées en début de semaine lors de la dispersion de rassemblements.
La Grande-Bretagne a appelé mercredi "toutes les parties" en Libye et à Bahreïn à "faire preuve de retenue et à s'abstenir de recourir à la force" lors des manifestations anti-gouvernementales."Nous sommes inquiets des informations que nous avons reçues sur l'arrestation de Libyens qui avaient appelé à des manifestations ou s'étaient exprimés dans les médias, et sur des incidents...
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