La Turquie est en discussions préliminaires avec EDF, GDF Suez et Areva pour la construction d'une centrale nucléaire en Turquie mais les Japonais de Toshiba sont pour l'instant prioritaires dans les négociations en cours, a affirmé vendredi le ministre turc de l'Energie.
"La France s'est intéressée à la construction d'une centrale nucléaire en Turquie. Nous évaluons leurs offres mais les discussions avec le Japon sont prioritaires", a-t-il dit, cité par l'agence de presse Anatolie.
Les compagnies intéressées sont EDF, GDF Suez et Areva, a souligné Taner Yldiz, qui a souligné, sans fournir de précisions, qu'elles avaient soumises "certaines propositions".
En début de semaine, une source proche du ministère turc de l'Energie avait confirmé à l'AFP que EDF avait fait part aux autorités turques de sa volonté de construire une centrale nucléaire.
La Turquie a signé l'an dernier avec la Russie un accord d'un montant de 20 milliards de dollars pour la construction de la première centrale nucléaire du pays, qui sera implantée à Akkuyu (sud), sur la côte méditerranéenne.
La Turquie prévoit également de construire une deuxième centrale nucléaire à Sinop (nord), au bord de la mer Noire. Elle a signé le mois dernier avec Toshiba un protocole d'accord à cet effet mais les négociations ne sont pas encore arrivées à terme.
Si ces discussions n'aboutissent pas, la Turquie pourrait éventuellement se tourner vers EDF mais "d'autres questions" pourraient entrer en jeu, avait affirmé la source officielle turque.
Celle-ci a laissé entendre que l'opposition de la France à l'entrée de la Turquie à l'Union européenne et la reconnaissance par le parlement français du génocide des Arméniens pendant l'empire ottoman (1915-1917) pourraient diminuer les chances des Français.
"La France s'est intéressée à la construction d'une centrale nucléaire en Turquie. Nous évaluons leurs offres mais les discussions avec le Japon sont prioritaires", a-t-il dit, cité par l'agence de presse Anatolie.
Les compagnies intéressées sont EDF, GDF Suez et Areva, a souligné Taner Yldiz, qui a souligné, sans fournir de précisions, qu'elles avaient soumises "certaines propositions".
En début de semaine, une source proche du ministère turc de l'Energie avait confirmé à l'AFP que EDF avait fait part aux autorités turques de sa volonté de construire une centrale nucléaire.
La Turquie a signé l'an dernier avec la Russie un accord d'un montant de 20 milliards de dollars pour la construction de la première centrale nucléaire du pays, qui sera implantée à Akkuyu (sud), sur la côte méditerranéenne.
La Turquie prévoit également de construire une deuxième centrale nucléaire à Sinop (nord), au bord de la mer Noire. Elle a signé le mois dernier avec Toshiba un protocole d'accord à cet effet mais les négociations ne sont pas encore arrivées à terme.
Si ces discussions n'aboutissent pas, la Turquie pourrait éventuellement se tourner vers EDF mais "d'autres questions" pourraient entrer en jeu, avait affirmé la source officielle turque.
Celle-ci a laissé entendre que l'opposition de la France à l'entrée de la Turquie à l'Union européenne et la reconnaissance par le parlement français du génocide des Arméniens pendant l'empire ottoman (1915-1917) pourraient diminuer les chances des Français.
La Turquie est en discussions préliminaires avec EDF, GDF Suez et Areva pour la construction d'une centrale nucléaire en Turquie mais les Japonais de Toshiba sont pour l'instant prioritaires dans les négociations en cours, a affirmé vendredi le ministre turc de l'Energie."La France s'est intéressée à la construction d'une centrale nucléaire en Turquie. Nous évaluons leurs offres...
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