« Les principaux promoteurs doivent comprendre qu'ils sont en train de nuire au secteur en augmentant l'offre » sur le marché, a déclaré le directeur général de Real Estate Regulatory Agency (RERA), Marwan Be Ghalaita, dans une déclaration au magazine en ligne Arabian Business.
Il a cité le géant immobilier en difficulté Nakheel, affilié à Dubai World, un groupe très endetté, ainsi que Dubai Holding, détenu par le souverain de Dubaï, et Emaar, le promoteur de Burj Khalifa, la plus haute tour au monde.
« Tout le monde dit que l'offre est trop grande (...), mais cette offre sur le marché de l'immobilier à Dubaï vient des grands promoteurs Nakheel, Dubai Holding, Emaar et de sous-traitants », a dit M. Ghalaita, qui en veut à ces « grands promoteurs et non aux sous-traitants ».
Dubaï, qui n'a pas de ressources pétrolières significatives, a été durement touché par la crise financière mondiale qui s'était déclarée à l'automne 2008. La bulle immobilière, spéculative, s'était alors brutalement dégonflée. Le prix du bâti a plongé de plus de moitié depuis.
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