Des ministres afghans ont évoqué hier à Dubaï les perspectives d'investissements étrangers dans leur pays malgré la guerre, notamment dans les secteurs minier et agricole, lors d'une conférence internationale qui a réuni quelque 700 participants.
La conférence, qui a couronné une série de réunions sur l'Afghanistan tenues cette année à Londres, Kaboul, Istanbul et Lisbonne, a été l'occasion pour la délégation afghane de présenter ses priorités en matière d'investissements et de donner des assurances en matière de sécurité, selon un communiqué final.
La délégation, conduite par le ministre des Affaires étrangères Zalmaï Rassoul, a présenté de grands projets dans le secteur minier, dans les infrastructures et l'agriculture, dans l'espoir de trouver des investisseurs des secteurs privé et public afin de monter des partenariats.
« Le gouvernement afghan a confirmé son fort engagement à assurer la sécurité des compagnies et des institutions financières qui décident d'investir en Afghanistan », lit-on dans le communiqué.
L'Afghanistan, l'un des pays les plus pauvres du monde, dispose de gisements de cuivre, de fer, d'or, de minerai de fer, ainsi que de gaz naturel, de pétrole et de pierres précieuses et semi-précieuses, qui ont été peu exploités, car les conflits se sont succédé depuis une trentaine d'années.
En janvier, le président Hamid Karzaï avait indiqué que son pays pourrait devenir l'un des plus riches du monde si on l'aidait à exploiter ses gisements, dont il avait évalué la valeur à un millier de milliards de dollars.
Le ministre d'État émirien aux Affaires étrangères, Anouar Mohammad Garguèche, qui a coprésidé la conférence de Dubaï, a espéré que « cette initiative générera davantage de coopération et contribuera à soutenir une croissance économique dans un Afghanistan pacifié ».
La conférence, qui a couronné une série de réunions sur l'Afghanistan tenues cette année à Londres, Kaboul, Istanbul et Lisbonne, a été l'occasion pour la délégation afghane de présenter ses priorités en matière d'investissements et de donner des assurances en matière de sécurité, selon un communiqué final.
La délégation, conduite par le ministre des Affaires étrangères Zalmaï Rassoul, a présenté de grands projets dans le secteur minier, dans les infrastructures et l'agriculture, dans l'espoir de trouver des investisseurs des secteurs privé et public afin de monter des partenariats.
« Le gouvernement afghan a confirmé son fort engagement à assurer la sécurité des compagnies et des institutions financières qui décident d'investir en Afghanistan », lit-on dans le communiqué.
L'Afghanistan, l'un des pays les plus pauvres du monde, dispose de gisements de cuivre, de fer, d'or, de minerai de fer, ainsi que de gaz naturel, de pétrole et de pierres précieuses et semi-précieuses, qui ont été peu exploités, car les conflits se sont succédé depuis une trentaine d'années.
En janvier, le président Hamid Karzaï avait indiqué que son pays pourrait devenir l'un des plus riches du monde si on l'aidait à exploiter ses gisements, dont il avait évalué la valeur à un millier de milliards de dollars.
Le ministre d'État émirien aux Affaires étrangères, Anouar Mohammad Garguèche, qui a coprésidé la conférence de Dubaï, a espéré que « cette initiative générera davantage de coopération et contribuera à soutenir une croissance économique dans un Afghanistan pacifié ».
Des ministres afghans ont évoqué hier à Dubaï les perspectives d'investissements étrangers dans leur pays malgré la guerre, notamment dans les secteurs minier et agricole, lors d'une conférence internationale qui a réuni quelque 700 participants.La conférence, qui a couronné une série de réunions sur...
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