De mêmes sources, on a indiqué que la question du financement ne risque pas d'entraver le fonctionnement du TSL, d'autant que plusieurs pays ont proposé de couvrir les montants requis au cas où un État s'abstiendrait de payer sa part.
Rappelons que la contribution du Liban au TSL est de 49 %, les 51 % restants sont assurés par plusieurs États arabes et occidentaux.
Une source de la majorité a indiqué à ce sujet à al-Markaziya que « la question du financement sur laquelle certaines parties misaient pour court-circuiter l'action du tribunal ne constitue pas de problème, puisque plusieurs États sont prêts à financer le TSL afin que la vérité sur l'assassinat de l'ancien Premier ministre, Rafic Hariri, soit connue ».
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