Le Hamas et d'autres mouvements palestiniens basés à Damas se sont prononcés dimanche contre une éventuelle reprise des négociations directes de paix entre l'Autorité palestinienne et Israël.
"Les mouvements de la résistance palestinienne affirment leur rejet des négociations directes ou indirectes et mettent en garde contre les dangereuses conséquences d'une politique qui vise à brader les droits nationaux palestiniens", affirment-ils dans un communiqué publié à l'issue d'une réunion.
"Le retour aux négociations directes représente une soumission aux conditions américaines et sionistes qui visent à liquider ces droits", affirment ces organisations.
Selon elles, les Etats-Unis cherchent à "couvrir les pratiques des occupants israéliens qui veulent amplifier la colonisation, judaïser la terre, prendre le contrôle de Jérusalem et maintenir le blocus de la bande de Gaza".
Parmi les onze signataires du communiqué figurent outre le Hamas (qui contrôle la bande de Gaza), le Jihad islamique, le Front populaire de libération de la Palestine-Commandement général et les Fronts populaire et démocratique de libération de la Palestine.
L'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas doit trancher sur l'opportunité d'une reprise des négociations directes avec Israël après une invitation formelle en ce sens du Quartette pour le Proche-Orient (Etats-Unis, Union européenne, ONU, Russie), a indiqué vendredi un proche de M. Abbas, Nimr Hamad.
Des négociations indirectes sous l'égide des Etats-Unis ont été lancées en mai. Pour lancer des discussions directes, le président Abbas exige au préalable un gel de la colonisation israélienne.
Les négociations directes sont interrompues depuis l'offensive dévastatrice de l'Etat hébreu dans la bande de Gaza fin 2008.
"Les mouvements de la résistance palestinienne affirment leur rejet des négociations directes ou indirectes et mettent en garde contre les dangereuses conséquences d'une politique qui vise à brader les droits nationaux palestiniens", affirment-ils dans un communiqué publié à l'issue d'une réunion.
"Le retour aux négociations directes représente une soumission aux conditions américaines et sionistes qui visent à liquider ces droits", affirment ces organisations.
Selon elles, les Etats-Unis cherchent à "couvrir les pratiques des occupants israéliens qui veulent amplifier la colonisation, judaïser la terre, prendre le contrôle de Jérusalem et maintenir le blocus de la bande de Gaza".
Parmi les onze signataires du communiqué figurent outre le Hamas (qui contrôle la bande de Gaza), le Jihad islamique, le Front populaire de libération de la Palestine-Commandement général et les Fronts populaire et démocratique de libération de la Palestine.
L'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas doit trancher sur l'opportunité d'une reprise des négociations directes avec Israël après une invitation formelle en ce sens du Quartette pour le Proche-Orient (Etats-Unis, Union européenne, ONU, Russie), a indiqué vendredi un proche de M. Abbas, Nimr Hamad.
Des négociations indirectes sous l'égide des Etats-Unis ont été lancées en mai. Pour lancer des discussions directes, le président Abbas exige au préalable un gel de la colonisation israélienne.
Les négociations directes sont interrompues depuis l'offensive dévastatrice de l'Etat hébreu dans la bande de Gaza fin 2008.
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