De nouvelles personnalités du 8 Mars ont exprimé au cours des dernières vingt-quatre heures leur appui aux derniers propos tenus par le président Michel Sleiman, dans une interview à la chaîne al-Manar (relevant du Hezbollah), portant sur une nécessaire complémentarité entre « l'armée, le peuple et la Résistance » (le Hezbollah), face à Israël. Les ténors du 8 Mars qui ont commenté hier la position du général Sleiman sur ce plan ont dans le même temps vivement critiqué les déclarations du leader des Forces libanaises, Samir Geagea, qui a dénoncé « la partialité » du président concernant ce dossier, soulignant en outre que la ligne de conduite du Hezbollah rend le pays vulnérable face à Israël.
Le député Nawwaf Moussaoui, membre du bloc parlementaire du Hezbollah, a affirmé dans ce cadre qu' « il est élémentaire que la stratégie de défense doit être fondée sur la solidarité et la coopération entre les trois paramètres du potentiel national, l'armée, le peuple et la Résistance ». « En dépit du fait qu'il s'agit là d'une évidence, nous rendons hommage au président de la République pour la position qu'il a adoptée à ce propos, a déclaré Nawwaf Moussaoui. L'attitude du président exprime la volonté nationale authentique des Libanais sincères. Quant à ceux qui contestent la présence de la Résistance et qui ont critiqué la position du chef de l'État, leur position n'est pas nouvelle à cet égard. Ils se sont toujours opposés à la résistance face à l'ennemi israélien, si tant est qu'ils considèrent l'Israélien comme un ennemi. »
Également membre du bloc parlementaire du Hezbollah, le député Nawwar Sahili a souligné que « la position du président renforce le Liban et consolide l'immunité du pays, de même qu'elle reflète la volonté de la majorité du peuple libanais ». « Cette position, a ajouté le député hezbollahi, est également le fruit de l'expérience du président Sleiman qui a été le partenaire effectif (du Hezbollah) dans la libération et la victoire. » Et M. Sahili d'ajouter : « L'équation qui a protégé le Liban, et qui continue de le faire, est celle qui est fondée sur le peuple, l'armée et la Résistance, laquelle est devenue une constante nationale de base. »
Le député Abdel Magid Saleh, membre du bloc parlementaire du leader d'Amal, Nabih Berry, a dénoncé pour sa part ceux qui « tentent de porter atteinte aux instances étatiques, et plus particulièrement au président de la République, le général Michel Sleiman, en raison de ses positions courageuses, lesquelles reflètent une réalité que certaines parties essayent de renier afin de nous maintenir dans le giron américain de manière à servir les intérêts d'Israël ». Et M. Saleh d'ajouter que « la stratégie de défense devrait être fondée sur l'armée, le peuple et la Résistance car chacune de ces factions a son rôle à jouer dans la protection du pays ».
Quant à l'uléma Mohammad Hussein Fadlallah, il a rendu hommage, dans son prêche du vendredi, à la position du président Michel Sleiman « qui a appelé à la sauvegarde de l'unité nationale par le biais de la coordination totale entre l'armée, le peuple et la Résistance ». Sayyed Fadlallah a fait l'éloge à cette occasion des martyrs du Hezbollah, soulignant que « le Liban, grâce à sa Résistance, son peuple et son armée, a présenté un modèle aux pays arabes et islamiques ».
Abondant dans le même sens, le vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, a mis l'accent sur la nécessité d'une « coopération entre le peuple, l'armée et la Résistance pour faire face à Israël ».
Le Parti syrien national social (PSNS) a estimé pour sa part que « la campagne de Samir Geagea et de certains résidus du 14 Mars contre le président de la République, et leurs critiques formulées au sujet de ses positions nationales ne constituent qu'un prolongement de l'étape funeste qui a commencé avec l'approbation de la résolution 1559 et qui s'est étendue jusqu'à l'accord de Doha ».
Enfin, l'ancien député Élie Skaff a déclaré que « si Samir Geagea n'est pas d'accord avec les positions du président de la République, qu'il retire alors ses ministres du gouvernement ».
Le député Nawwaf Moussaoui, membre du bloc parlementaire du Hezbollah, a affirmé dans ce cadre qu' « il est élémentaire que la stratégie de défense doit être fondée sur la solidarité et la coopération entre les trois paramètres du potentiel national, l'armée, le peuple et la Résistance ». « En dépit du fait qu'il s'agit là d'une évidence, nous rendons hommage au président de la République pour la position qu'il a adoptée à ce propos, a déclaré Nawwaf Moussaoui. L'attitude du président exprime la volonté nationale authentique des Libanais sincères. Quant à ceux qui contestent la présence de la Résistance et qui ont critiqué la position du chef de l'État, leur position n'est pas nouvelle à cet égard. Ils se sont toujours opposés à la résistance face à l'ennemi israélien, si tant est qu'ils considèrent l'Israélien comme un ennemi. »
Également membre du bloc parlementaire du Hezbollah, le député Nawwar Sahili a souligné que « la position du président renforce le Liban et consolide l'immunité du pays, de même qu'elle reflète la volonté de la majorité du peuple libanais ». « Cette position, a ajouté le député hezbollahi, est également le fruit de l'expérience du président Sleiman qui a été le partenaire effectif (du Hezbollah) dans la libération et la victoire. » Et M. Sahili d'ajouter : « L'équation qui a protégé le Liban, et qui continue de le faire, est celle qui est fondée sur le peuple, l'armée et la Résistance, laquelle est devenue une constante nationale de base. »
Le député Abdel Magid Saleh, membre du bloc parlementaire du leader d'Amal, Nabih Berry, a dénoncé pour sa part ceux qui « tentent de porter atteinte aux instances étatiques, et plus particulièrement au président de la République, le général Michel Sleiman, en raison de ses positions courageuses, lesquelles reflètent une réalité que certaines parties essayent de renier afin de nous maintenir dans le giron américain de manière à servir les intérêts d'Israël ». Et M. Saleh d'ajouter que « la stratégie de défense devrait être fondée sur l'armée, le peuple et la Résistance car chacune de ces factions a son rôle à jouer dans la protection du pays ».
Quant à l'uléma Mohammad Hussein Fadlallah, il a rendu hommage, dans son prêche du vendredi, à la position du président Michel Sleiman « qui a appelé à la sauvegarde de l'unité nationale par le biais de la coordination totale entre l'armée, le peuple et la Résistance ». Sayyed Fadlallah a fait l'éloge à cette occasion des martyrs du Hezbollah, soulignant que « le Liban, grâce à sa Résistance, son peuple et son armée, a présenté un modèle aux pays arabes et islamiques ».
Abondant dans le même sens, le vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, a mis l'accent sur la nécessité d'une « coopération entre le peuple, l'armée et la Résistance pour faire face à Israël ».
Le Parti syrien national social (PSNS) a estimé pour sa part que « la campagne de Samir Geagea et de certains résidus du 14 Mars contre le président de la République, et leurs critiques formulées au sujet de ses positions nationales ne constituent qu'un prolongement de l'étape funeste qui a commencé avec l'approbation de la résolution 1559 et qui s'est étendue jusqu'à l'accord de Doha ».
Enfin, l'ancien député Élie Skaff a déclaré que « si Samir Geagea n'est pas d'accord avec les positions du président de la République, qu'il retire alors ses ministres du gouvernement ».
De nouvelles personnalités du 8 Mars ont exprimé au cours des dernières vingt-quatre heures leur appui aux derniers propos tenus par le président Michel Sleiman, dans une interview à la chaîne al-Manar (relevant du Hezbollah), portant sur une nécessaire complémentarité entre « l'armée, le peuple et la...
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