L’hommage à l’artiste au Madina

Un programme d'hommage à Etel Adnan est organisé par les responsables du théâtre al-Madina et se présente comme suit :
Jeudi 13 mai
19h00 : vernissage à la salle Noha el-Radi d'une exposition de photographies et d'œuvres picturales d'Etel Adnan venant de collections privées.
19h30 : entrée au théâtre sur une musique de Zad Moultaka, puis projection d'un extrait du documentaire réalisé par Vouvoula Skoula.
Après une allocution prononcée par le ministre de la Culture, le micro sera donné à la directrice du TAM, Nidal el-Achkar, puis successivement aux cinéastes grecque Vouvoula Skoula et allemande Klaudia Russkovski. Pendront également la parole : Brigitta Engles, la directrice du théâtre suédois Riksteatren, l'historien Fawaz Traboulsi et, last but not least, Etel Adnan.
Une chanson de Jahida Wehbé puis présentation de la pièce In the heart of the heart of another body, mise en scène par Nagy Souraty et produite par la LAU.
Vendredi 14 mai
17h30 : table ronde animée par la directrice de l'Opéra de Damas, Hanane Kassab Hassan, sur le thème « L'influence de la femme dans le développement de la littérature et des arts dans le monde ». Avec Birgitta Engles, Ilona Kish (secrétaire générale de Culture Action Europe) et Mona Amyuni.
19h00 : deuxième table ronde sur le thème « La littérature d'Etel Adnan et sa traduction », avec Abdo Wazen, Amal Dibo, Iskandar Habache, Pierre Abi Saab, Sabah Zouein, Klaudia Russkovski et May Menassa.
20h30 : représentation du spectacle In the heart of the heart of another body de Nagy Souraty.
Samedi 15 mai
17h30 : troisième table ronde autour de l'art d'Etel Adnan avec Samir Sayegh, Amine el-Bacha, Jamil Molaeb, Nazih Khater et Maha Sultan.
18h30 : quatrième conférence sur la poésie d'Etel Adnan avec Pierre Abi Saab, Zahi Wehbé, Chaouki Bzeih, Abbas Beydoun, Marilyne Kanaan et Mohammad Ali Chamseddine.
20h30 : projection du film de Vouvoula Skoula.
Dimanche 16 mai
18h00 : lecture par Rafi Feghali, en anglais, de la pièce Crime of honor.
20h30 : musique de Zad Moultaka, puis récitation collective de poèmes de Adnan.