Pour sa seconde génération d'Alhambra, Seat reprend une recette éprouvée sur le précédent modèle : ce grand monospace se différenciera de son frère Sharan badgé VW par un style légèrement plus sportif et des tarifs plus accessibles.
Si toute la gamme Seat reprend des bases issues du groupe Volkswagen, elle profite habituellement de carrosseries 100 % inédites. Mais les plus grands modèles font exception : alors que la familiale Exeo n'est qu'une ancienne Audi A4 rebadgée, la seconde génération d'Alhambra restera très proche du Sharan 2 (en bas) de VW, présenté au dernier Salon de Genève. De profil, la similitude entre ces deux grands monospaces sautera donc aux yeux. En revanche, à l'avant, l'espagnol se distinguera davantage, avec une calandre, des phares et un bouclier qui évoquent la dernière génération d'Ibiza. Quant aux feux arrière, ils seront dans l'esprit de l'Exeo.
Côté pratique, on retrouvera logiquement les mêmes arguments que sur le Sharan. L'Alhambra recevra donc des portes arrière coulissantes, très utiles dans les parkings, et il soignera sa modularité. La gamme de motorisations sera également identique à celle du monospace VW : en diesel, le 2.0 TDI sera le seul moteur proposé, en configuration 140 et 170 ch, alors qu'en essence, le 1.4 TSI de 150 ch et le 2.0 TSI de 200 ch seront chargés d'animer cet imposant vaisseau de 4,85 m de long. Mais comme auparavant, cet Alhambra jouera aussi la carte de tarifs agressifs : commercialisé à l'automne, il devrait afficher un tarif inférieur de 2 000 € à celui du Sharan, soit 28 000 environ en premier prix. Et cela, sans faire trop de concessions sur l'équipement.
Si toute la gamme Seat reprend des bases issues du groupe Volkswagen, elle profite habituellement de carrosseries 100 % inédites. Mais les plus grands modèles font exception : alors que la familiale Exeo n'est qu'une ancienne Audi A4 rebadgée, la seconde génération d'Alhambra restera très proche du Sharan 2 (en bas) de VW, présenté au dernier Salon de Genève. De profil, la similitude entre ces deux grands monospaces sautera donc aux yeux. En revanche, à l'avant, l'espagnol se distinguera davantage, avec une calandre, des phares et un bouclier qui évoquent la dernière génération d'Ibiza. Quant aux feux arrière, ils seront dans l'esprit de l'Exeo.
Côté pratique, on retrouvera logiquement les mêmes arguments que sur le Sharan. L'Alhambra recevra donc des portes arrière coulissantes, très utiles dans les parkings, et il soignera sa modularité. La gamme de motorisations sera également identique à celle du monospace VW : en diesel, le 2.0 TDI sera le seul moteur proposé, en configuration 140 et 170 ch, alors qu'en essence, le 1.4 TSI de 150 ch et le 2.0 TSI de 200 ch seront chargés d'animer cet imposant vaisseau de 4,85 m de long. Mais comme auparavant, cet Alhambra jouera aussi la carte de tarifs agressifs : commercialisé à l'automne, il devrait afficher un tarif inférieur de 2 000 € à celui du Sharan, soit 28 000 environ en premier prix. Et cela, sans faire trop de concessions sur l'équipement.
Pour sa seconde génération d'Alhambra, Seat reprend une recette éprouvée sur le précédent modèle : ce grand monospace se différenciera de son frère Sharan badgé VW par un style légèrement plus sportif et des tarifs plus accessibles. Si toute la gamme Seat reprend des bases issues du groupe Volkswagen, elle...
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