Deux Palestiniens ont été tués et deux autres blessés lors de violents échanges de tirs hier matin entre des combattants du Jihad islamique et l'armée israélienne dans la zone frontalière de la bande de Gaza, a-t-on appris auprès de sources médicales palestiniennes.
Les échanges de tirs, qui ont été « intenses », selon le Jihad islamique, avaient éclaté tôt mardi matin dans le secteur de Kissoufim, près de la clôture de sécurité entre Israël et la bande de Gaza. Ils ont été suivis par une incursion de 400 mètres en territoire palestinien de quatre chars et deux bulldozers militaires israéliens à l'est du camp de réfugiés d'al-Bourij, dans le centre de l'enclave palestinienne, selon des témoins. Les chars israéliens ont commencé à se retirer de la zone en début d'après-midi, ont indiqué les mêmes sources.
Les Brigades al-Qassam, la branche armée du Hamas, et les Comités de résistance populaires (CRP) ont affirmé avoir tiré hier matin des obus de mortier et des roquettes en direction d'Israël, mais ces revendications n'ont pas été confirmées par l'armée israélienne. Le Hamas observe une trêve des attaques contre le territoire israélien depuis la fin de la dernière offensive israélienne en janvier 2009. Mais le Jihad islamique, un groupe plus petit et radical que le Hamas, a rejeté tout cessez-le-feu dans le passé.
Par ailleurs, le mouvement Hamas a affirmé que la libération du soldat israélien Gilad Shalit qu'il détient ne se ferait qu'en échange de la libération du « plus grand nombre » de détenus palestiniens des prisons israéliennes. Le nombre des détenus Palestiniens et arabes dans les prisons israéliennes s'élève à quelque 8 200, dont 400 enfants et 30 femmes, précise le communiqué.
Le responsable du Hamas a notamment mis en garde les autorités israéliennes « contre la poursuite de leurs pratiques répressives à l'encontre de ces prisonniers », les accusant de « commettre des crimes de guerre ».
Les échanges de tirs, qui ont été « intenses », selon le Jihad islamique, avaient éclaté tôt mardi matin dans le secteur de Kissoufim, près de la clôture de sécurité entre Israël et la bande de Gaza. Ils ont été suivis par une incursion de 400 mètres en territoire palestinien de quatre chars et deux bulldozers militaires israéliens à l'est du camp de réfugiés d'al-Bourij, dans le centre de l'enclave palestinienne, selon des témoins. Les chars israéliens ont commencé à se retirer de la zone en début d'après-midi, ont indiqué les mêmes sources.
Les Brigades al-Qassam, la branche armée du Hamas, et les Comités de résistance populaires (CRP) ont affirmé avoir tiré hier matin des obus de mortier et des roquettes en direction d'Israël, mais ces revendications n'ont pas été confirmées par l'armée israélienne. Le Hamas observe une trêve des attaques contre le territoire israélien depuis la fin de la dernière offensive israélienne en janvier 2009. Mais le Jihad islamique, un groupe plus petit et radical que le Hamas, a rejeté tout cessez-le-feu dans le passé.
Par ailleurs, le mouvement Hamas a affirmé que la libération du soldat israélien Gilad Shalit qu'il détient ne se ferait qu'en échange de la libération du « plus grand nombre » de détenus palestiniens des prisons israéliennes. Le nombre des détenus Palestiniens et arabes dans les prisons israéliennes s'élève à quelque 8 200, dont 400 enfants et 30 femmes, précise le communiqué.
Le responsable du Hamas a notamment mis en garde les autorités israéliennes « contre la poursuite de leurs pratiques répressives à l'encontre de ces prisonniers », les accusant de « commettre des crimes de guerre ».
Deux Palestiniens ont été tués et deux autres blessés lors de violents échanges de tirs hier matin entre des combattants du Jihad islamique et l'armée israélienne dans la zone frontalière de la bande de Gaza, a-t-on appris auprès de sources médicales palestiniennes.Les échanges de tirs, qui ont...
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