Plusieurs intervenants du secteur ont toutefois fait part à l'AFP de leurs doutes, jugeant que la rupture des relations entre les courtiers suisses et leurs clients iraniens n'était qu'une opération de relations publiques et que les affaires continuaient via des sociétés intermédiaires dont le siège est à Dubaï.
Contactés par l'AFP, Vitol et Trafigura n'ont pas souhaité faire de commentaire sur cette allégation. « Notre position est bien telle que décrite par le Financial Times », a cependant déclaré le porte-parole de Vitol.
Bien que l'Iran soit l'un des premiers producteurs mondiaux de brut, il est contraint d'importer la moitié de l'essence qu'il consomme, car ses infrastructures de raffinage sont vétustes et insuffisantes pour répondre à la demande locale.
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