Il a développé à cet égard l'exemple du Liban, qui a subi aussi bien les conflits internes que les agressions répétées d'Israël. Il aussi relevé l'impact des conflits armés sur la femme et sur l'enfant, ainsi que sur l'équilibre au sein de la famille, notamment au niveau des rôles parentaux.
Il a aussi parlé des problèmes de santé engendrés par les conflits armés au sein de la famille, ainsi que des changements géographiques en particulier de l'espace vital et le mode de vie, sans parler des déplacements de populations et du changement forcé de cadre et d'environnement.
M. Mohanna a insisté sur les troubles psychologiques qui sont dus à la guerre, notamment chez les enfants, assurant que la société dans son ensemble doit établir un plan pour résoudre ces problèmes, réhabiliter la cellule familiale et contribuer à rétablir l'équilibre au sein de la famille.
Il a aussi insisté sur le rôle de l'école dans ce domaine, proposant aux participants au congrès une série de recommandations de nature à protéger la cellule familiale.
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