« Dorénavant, dès que vous me poserez une question qui concerne mon avenir ou l'équipe de France, je n'y répondrai pas », a déclaré l'entraîneur bordelais, visiblement agacé.
Conscient d'avoir provoqué le débat en annonçant lundi que « l'équipe de France, ça peut se refuser, bien sûr », Blanc a peu goûté l'intervention du président Jean-Pierre Escalettes qui l'a cité mardi, de même que Didier Deschamps (entraîneur de Marseille), Jean Tigana et Alain Boghossian (adjoint de Domenech) comme possible futur patron des Bleus.
« Pour arrêter toute polémique, je ne répondrai pas », a-t-il répété, précisant « être dans (mon) droit car je suis à Bordeaux et il y a une saison à finir, une saison à faire, et c'est un manque de respect vis-à-vis du club de parler de l'équipe nationale ».
Faisant référence à son staff technique en Gironde, mais aussi à celui des Bleus, le « Président » a ajouté qu'il « n'aimerait pas que l'on parle dès à présent de l'entraîneur qui arriverait à Bordeaux après (lui) ».
« Il y a un staff technique en équipe de France qui a du travail, une préparation à faire pour une Coupe du monde, ce qui n'est pas rien, laissons-le tranquille. Je ne veux pas alimenter tout ça, c'est stop, c'est niet jusqu'au 15 mai pour moi. C'est noté ? » a conclu l'ancien libero international, sous contrat en Gironde jusqu'en juin 2011.
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