Prenant la parole, M. Pharaon a indiqué qu'il « est vrai que la bataille était dure à Achrafieh, mais après les législatives nous avons été clairs et nous avons indiqué que nous ne fermerons pas la porte à la coopération, et ce dans l'intérêt public, politique, chrétien et arménien ».
Il a souhaité qu'une « nouvelle étape commence et qu'elle ait pour bases le dialogue à l'intérieur et à l'extérieur des institutions, et pour lignes directrices l'ouverture et le calme ».
Commentant la visite du Premier ministre Saad Hariri en Syrie, M. Pharaon a indiqué qu'elle « était attendue » et qu'elle « porte des points positifs sur plusieurs plans », ajoutant qu'il n'a « pas de craintes concernant cette visite qui revêt sans aucun doute un caractère particulier, surtout après les quatre dernières années ».
Il a souligné en conclusion que « toutes les parties devraient dépasser les conflits après la paralysie qui a touché l'État durant plusieurs années », souhaitant que l'on « profite du calme régional pour consolider la situation au Liban et réduire les interventions étrangères ».
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