Le FC Barcelone, incapable de prendre plus d'un point en deux confrontations face au Rubin Kazan, doit impérativement battre l'Inter Milan ce soir au Camp Nou pour ne pas se retrouver au bord d'une élimination fracassante au premier tour.
Gagner ou trembler
Le Barça, qui défend son titre après sa brillante campagne 2008-2009, n'est que troisième du groupe F, un point derrière l'Inter et sur la même ligne que le Rubin Kazan (5 points), mais devancé au jeu des confrontations directes (défaite 2-1 au Camp Nou, 0-0 à Kazan). Un match nul face à l'équipe italienne, la seule invaincue du groupe, et le Barça ne serait plus maître de son destin. Une défaite et il pourrait même être éliminé (si Kazan bat Kiev)... « Mardi, nous jouons une finale, un duel contre l'une des meilleures équipes d'Europe », prévient le milieu de terrain, Sergi Busquets, de plus en plus incontournable au Barça comme en équipe d'Espagne. « Nous n'avons pas d'autre option que gagner. » En cas de victoire, l'Inter, elle, serait qualifiée pour les 8es de finale.
Un mauvais présage ?
Le Barça n'est plus, contrairement à l'Inter Milan, leader dans son pays. Repris par un coriace Athletic Bilbao samedi lors de la 11e journée de Liga (1-1), il s'est fait doubler au classement par le Real Madrid, qui a pris les trois points à domicile contre Santander (1-0). L'équipe de Pep Guardiola, leader en solitaire depuis la 6e journée, est désormais 2e, à un point du Real, qu'elle recevra dimanche pour le fameux « Clasico ».
De son côté, l'équipe de José Mourinho, qui s'est imposée 3-1 à Bologne, garde la main en Italie, avec cinq points d'avance sur la Juventus et sept sur l'AC Milan.
Des absents et des incertitudes
Le Barça sera privé de Yaya Touré et Eric Abidal, deux pièces importantes du dispositif défensif de Guardiola, grippés (virus H1N1). Et si le Suédois Zlatan Ibrahimovic, ex-attaquant vedette de l'Inter, semble remis d'une élongation à la jambe droite, l'Argentin Lionel Messi, blessé samedi à l'adducteur gauche, est toujours très incertain. Les « culés », les fans de Barcelone, croisent les doigts.
Du côté de l'Inter, tout le monde répond présent, avec seulement une petite incertitude concertant la forme du Néerlandais Wesley Sneijder, qui a déjà croisé le Barça avec le Real Madrid.
Le retour d'Eto'o au Camp Nou
Sera-t-il applaudi ? Sifflé ? Eto'o, après cinq saisons au Barça riches en buts et parfois en déclarations sulfureuses, a fini par être poussé dehors par Guardiola, qui ne voulait déjà pas de lui à l'été 2008. Après avoir tant apporté à ce club, et notamment marqué à chaque fois en finale des deux dernières Ligues des champions remportées par l'équipe catalane (2006 et 2009), il pourrait quasiment l'exclure de l'édition en cours. Mais le Camerounais, qui se sent beaucoup plus proche en Espagne de Majorque, n'aura pas d'états d'âme.
Gagner ou trembler
Le Barça, qui défend son titre après sa brillante campagne 2008-2009, n'est que troisième du groupe F, un point derrière l'Inter et sur la même ligne que le Rubin Kazan (5 points), mais devancé au jeu des confrontations directes (défaite 2-1 au Camp Nou, 0-0 à Kazan). Un match nul face à l'équipe italienne, la seule invaincue du groupe, et le Barça ne serait plus maître de son destin. Une défaite et il pourrait même être éliminé (si Kazan bat Kiev)... « Mardi, nous jouons une finale, un duel contre l'une des meilleures équipes d'Europe », prévient le milieu de terrain, Sergi Busquets, de plus en plus incontournable au Barça comme en équipe d'Espagne. « Nous n'avons pas d'autre option que gagner. » En cas de victoire, l'Inter, elle, serait qualifiée pour les 8es de finale.
Un mauvais présage ?
Le Barça n'est plus, contrairement à l'Inter Milan, leader dans son pays. Repris par un coriace Athletic Bilbao samedi lors de la 11e journée de Liga (1-1), il s'est fait doubler au classement par le Real Madrid, qui a pris les trois points à domicile contre Santander (1-0). L'équipe de Pep Guardiola, leader en solitaire depuis la 6e journée, est désormais 2e, à un point du Real, qu'elle recevra dimanche pour le fameux « Clasico ».
De son côté, l'équipe de José Mourinho, qui s'est imposée 3-1 à Bologne, garde la main en Italie, avec cinq points d'avance sur la Juventus et sept sur l'AC Milan.
Des absents et des incertitudes
Le Barça sera privé de Yaya Touré et Eric Abidal, deux pièces importantes du dispositif défensif de Guardiola, grippés (virus H1N1). Et si le Suédois Zlatan Ibrahimovic, ex-attaquant vedette de l'Inter, semble remis d'une élongation à la jambe droite, l'Argentin Lionel Messi, blessé samedi à l'adducteur gauche, est toujours très incertain. Les « culés », les fans de Barcelone, croisent les doigts.
Du côté de l'Inter, tout le monde répond présent, avec seulement une petite incertitude concertant la forme du Néerlandais Wesley Sneijder, qui a déjà croisé le Barça avec le Real Madrid.
Le retour d'Eto'o au Camp Nou
Sera-t-il applaudi ? Sifflé ? Eto'o, après cinq saisons au Barça riches en buts et parfois en déclarations sulfureuses, a fini par être poussé dehors par Guardiola, qui ne voulait déjà pas de lui à l'été 2008. Après avoir tant apporté à ce club, et notamment marqué à chaque fois en finale des deux dernières Ligues des champions remportées par l'équipe catalane (2006 et 2009), il pourrait quasiment l'exclure de l'édition en cours. Mais le Camerounais, qui se sent beaucoup plus proche en Espagne de Majorque, n'aura pas d'états d'âme.
Le FC Barcelone, incapable de prendre plus d'un point en deux confrontations face au Rubin Kazan, doit impérativement battre l'Inter Milan ce soir au Camp Nou pour ne pas se retrouver au bord d'une élimination fracassante au premier tour.Gagner ou tremblerLe Barça, qui défend son titre après sa brillante campagne 2008-2009, n'est que troisième...
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