« Tu verras bien qu'un beau matin, fatigué, j'irai m'asseoir sur le trottoir d'à côté... » Alain Souchon n'aurait jamais pensé que les paroles de sa chanson illustreraient ces temps de crise, jusque parmi ces cireurs de chaussures ambulants attendant en vain le mirage d'une paire de mocassins.
Si vous avez du talent, de l'esprit, un coup d'œil, et l'envie de les faire publier, envoyez-nous vos photos légendées à l'adresse suivante : carlahenoud@lorientlejour.com
« Tu verras bien qu'un beau matin, fatigué, j'irai m'asseoir sur le trottoir d'à côté... » Alain Souchon n'aurait jamais pensé que les paroles de sa chanson illustreraient ces temps de crise, jusque parmi ces cireurs de chaussures ambulants attendant en vain le mirage d'une paire de mocassins.Si vous avez du talent, de l'esprit,...
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