Selon toutes vraisemblances, Marouane Chamakh n'ira pas à Arsenal. Cette information à prendre au conditionnel a été révélée par la chaîne Canal+. Comment le joueur et les Girondins de Bordeaux vont-ils gérer cette situation ?
Tous les feuilletons de l'été ont une fin, heureuse ou non. Et les FC Girondins de Bordeaux vont l'apprendre à leurs dépens. Inflexible sur le dossier Marouane Chamakh, le club au Scapulaire a rejeté la dernière offre d'Arsenal, évaluée à environ 7 millions d'euros. Selon Canal+, Arsène Wenger aurait mis définitivement fin aux négociations pour enrôler l'attaquant marocain. Cette situation va certainement peser sur l'homme, mais aussi sur le rendement du club à moyen terme. Lors de la nette victoire des Marine et Blanc face au Racing Club de Lens (4-1), Chamakh semblait emprunté. Il n'a même pas célébré son but inscrit en toute fin de match.
L'ambiance au Haillan risque donc d'en prendre un coup. Malgré un départ tonitruant, Laurent Blanc et Bordeaux vont devoir régler au plus vite le cas de l'attaquant formé au club, sans quoi l'atmosphère dans les vestiaires pourrait vite se détériorer. Deux solutions s'offrent à eux. Soit ils entrent en négociations avec un club moins « huppé » qu'Arsenal et ils favorisent l'aspect économique en le vendant au plus offrant, soit ils essayent de faire prolonger Chamakh une année supplémentaire avec à la clé une belle réévaluation salariale.
Rupture désormais inévitable
Pour le premier cas, Jean-Louis Triaud et Laurent Blanc ont déjà refusé une offre alléchante de Sunderland (environ 14 millions d'euros), arguant que le joueur « méritait un club de plus grand standing ». Triaud s'est dit prêt à faire un effort si un club du haut de tableau de Premier League souhaitait s'attacher les services du joueur. Arsenal correspondait parfaitement au profil demandé. Pourtant, les dirigeants ont retardé l'échéance, demandant plus que la valeur réelle du joueur.
Cette gourmandise inconsidérée est à n'en pas douter la raison qui a fait capoter la transaction.
Quant à une éventuelle prolongation de contrat, Chamakh s'y refuse lui-même, préférant quitter la Gironde libre dans six mois pour s'engager dans le club qu'il aura choisi.
Bordeaux est-il prêt à laisser partir un élément phare de son équipe sans la moindre indemnité ? Certainement pas. Si Chamakh continue la saison chez le champion de France en titre, Laurent Blanc devra alors faire un gros travail mental sur le Marocain pour le maintenir mobilisé, lui qui déclarait qu'il « ne se sentirait pas bien et ne ferait pas une bonne saison » s'il restait à Bordeaux. Chamakh souhaitait en aucun cas entrer en conflit avec un club qui lui a tout offert, mais ce revirement de situation pourrait une rupture qui semble cette fois-ci inévitable.
Tous les feuilletons de l'été ont une fin, heureuse ou non. Et les FC Girondins de Bordeaux vont l'apprendre à leurs dépens. Inflexible sur le dossier Marouane Chamakh, le club au Scapulaire a rejeté la dernière offre d'Arsenal, évaluée à environ 7 millions d'euros. Selon Canal+, Arsène Wenger aurait mis définitivement fin aux négociations pour enrôler l'attaquant marocain. Cette situation va certainement peser sur l'homme, mais aussi sur le rendement du club à moyen terme. Lors de la nette victoire des Marine et Blanc face au Racing Club de Lens (4-1), Chamakh semblait emprunté. Il n'a même pas célébré son but inscrit en toute fin de match.
L'ambiance au Haillan risque donc d'en prendre un coup. Malgré un départ tonitruant, Laurent Blanc et Bordeaux vont devoir régler au plus vite le cas de l'attaquant formé au club, sans quoi l'atmosphère dans les vestiaires pourrait vite se détériorer. Deux solutions s'offrent à eux. Soit ils entrent en négociations avec un club moins « huppé » qu'Arsenal et ils favorisent l'aspect économique en le vendant au plus offrant, soit ils essayent de faire prolonger Chamakh une année supplémentaire avec à la clé une belle réévaluation salariale.
Rupture désormais inévitable
Pour le premier cas, Jean-Louis Triaud et Laurent Blanc ont déjà refusé une offre alléchante de Sunderland (environ 14 millions d'euros), arguant que le joueur « méritait un club de plus grand standing ». Triaud s'est dit prêt à faire un effort si un club du haut de tableau de Premier League souhaitait s'attacher les services du joueur. Arsenal correspondait parfaitement au profil demandé. Pourtant, les dirigeants ont retardé l'échéance, demandant plus que la valeur réelle du joueur.
Cette gourmandise inconsidérée est à n'en pas douter la raison qui a fait capoter la transaction.
Quant à une éventuelle prolongation de contrat, Chamakh s'y refuse lui-même, préférant quitter la Gironde libre dans six mois pour s'engager dans le club qu'il aura choisi.
Bordeaux est-il prêt à laisser partir un élément phare de son équipe sans la moindre indemnité ? Certainement pas. Si Chamakh continue la saison chez le champion de France en titre, Laurent Blanc devra alors faire un gros travail mental sur le Marocain pour le maintenir mobilisé, lui qui déclarait qu'il « ne se sentirait pas bien et ne ferait pas une bonne saison » s'il restait à Bordeaux. Chamakh souhaitait en aucun cas entrer en conflit avec un club qui lui a tout offert, mais ce revirement de situation pourrait une rupture qui semble cette fois-ci inévitable.
Selon toutes vraisemblances, Marouane Chamakh n'ira pas à Arsenal. Cette information à prendre au conditionnel a été révélée par la chaîne Canal+. Comment le joueur et les Girondins de Bordeaux vont-ils gérer cette situation ?Tous les feuilletons de l'été ont une fin, heureuse ou non. Et les FC Girondins...
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