« J'ai tourné la page OM. D'autres auraient mieux fait d'en faire autant, ajoute-t-il. Car dans mon souvenir, un autre a eu une seconde chance, pas très glorieuse d'ailleurs... » Bernès vise évidemment Bernard Tapie, revenu en tant que directeur sportif en 2001, et qui l'a éreinté dans la presse ces derniers jours.
Quant à José Anigo, qui ne voulait pas travailler à ses côtés, Bernès pense que l'ancien Minot
« n'a rien compris au film. À un moment, il aurait pu penser qu'un homme qui, comme lui, aime l'OM et les Marseillais, aurait pu l'aider. (...) Je le connais depuis 1981 et l'épopée des Minots. »
Bernès n'est pas « tricard »
S'il ne fait pas partie du club, Jean-Pierre Bernès assure cependant qu'il aidera l'Olympique de Marseille si besoin est : « Je marche à l'affectif. Jean-Claude Dassier est l'homme de la situation. Je suis obligé de lui rendre la confiance qu'il m'a témoignée. Sauf s'il n'a pas besoin de moi. » En début de semaine, Jean-Claude Dassier, tout en confirmant la non-venue de Bernès, avait assuré que l'ancien bras droit de Bernard Tapie n'était pas « tricard à l'OM. Sa compétence, sa connaissance du football va nous aider. La sienne et celle d'autres. »
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