M. Abou Rizk a appelé les habitants de Marjeyoun-Hasbaya, notamment les chrétiens, à voter en masse et à user ainsi des moyens mis à leurs dispositions pour exprimer démocratiquement leur opinion pour que la dignité de Marjeyoun-Hasbaya soit restituée.
Mgr Sfeir s'est aussi entretenu avec le président du Mouvement du changement, Élie Mahfouz, qui a indiqué que « les jours à venir prouveront que le patriarche maronite est la base de la résistance des chrétiens au Liban ». « Si Mgr Nasrallah Sfeir n'était pas présent durant certaines circonstances par lesquelles le pays est passé, il y aurait eu un important danger d'éliminer la présence chrétienne au Liban », a-t-il ajouté.
Parmi les visiteurs de Bkerké également, Régina Kantara, candidate au siège maronite de Tripoli. Elle a annoncé qu'elle a décidé de retirer sa candidature au profit de « la liste de la Solidarité tripolitaine ».
Mgr Sfeir a reçu également la visite du candidat indépendant au siège grec-orthodoxe de Beyrouth I, Nasrallah Abou Fadel.
Le patriarche maronite s'est également entretenu avec une délégation formée, notamment, des présidents de l'Université de Louaizé et de l'Université de Dayton, à Ohio, respectivement le père Walid Moussa et Daniel Curran, ainsi que du vice-président de l'Université de Dayton, Joseph Saliba.
Mgr Sfeir s'est également entretenu avec cheikh Robert Boulos, qui a invité les Libanais à adopter le langage de la raison, non celui de la rue, notamment à Zghorta-Zawyé. Il a rapporté que le patriarche est mécontent du niveau qu'ont atteint les discours politiques.