Le chef de la diplomatie belge, Karel de Gucht, a estimé hier que la Belgique pouvait « jouer un rôle dans la reconstruction » de l'Irak au premier jour d'une visite surprise de deux jours à Bagdad, la première d'un ministre belge en Irak depuis 1990. Il a annoncé la signature, la veille, d'un contrat « pour la construction de 13 usines de retraitement des eaux à Bagdad ». De son côté, le ministre irakien des Affaires étrangères, Hoshyar Zebari, a appelé les entreprises belges à surmonter leur peur des violences et à prendre des « risques calculés ».
Le chef de la diplomatie belge, Karel de Gucht, a estimé hier que la Belgique pouvait « jouer un rôle dans la reconstruction » de l'Irak au premier jour d'une visite surprise de deux jours à Bagdad, la première d'un ministre belge en Irak depuis 1990. Il a annoncé la signature, la veille, d'un contrat « pour la construction de 13 usines de retraitement des eaux à Bagdad ». De son côté, le ministre irakien des Affaires étrangères, Hoshyar Zebari, a appelé les entreprises belges à surmonter leur peur des violences et à prendre des « risques calculés ».
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