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Liban

La polémique 14-8 Mars se poursuit autour de la présidence

Le 14 Mars a déploré hier par la voix de sa candidate à Beyrouth I, Nayla Tuéni, et du député Atef Majdalani « la campagne du 8 Mars contre la magistrature suprême ».
La candidate du 14 Mars au siège grec-orthodoxe à Beyrouth I, Nayla Tuéni, a ainsi affirmé : « Nous voulons que le président de la République soit fort et qu'il puisse s'imposer comme référence. Ils s'en prennent à la magistrature suprême comme si tout leur était permis ! »
Le député Atef Majdalani a, quant à lui, dénoncé ce qu'il a qualifié de « campagne programmée par le 8 Mars contre la présidence de la République, qui constitue un maillon dans la chaîne de tentatives menées par ce camp pour détruire les fondements de l'État ». « Le 8 Mars est inquiet de voir le président Sleiman capable d'ancrer le projet de l'État face à celui du mini-État, a-t-il ajouté. Ils ont donc décidé de l'affaiblir et de le marginaliser. »
Du côté de l'opposition, le député Youssef Khalil (Bloc du changement et de la réforme) a affirmé que les accusations de vouloir réduire le mandat du président Sleiman qui sont adressées à son camp « ne sont que des rumeurs mensongères et des tentatives de terroriser l'autre ». « Ils veulent semer l'animosité entre la présidence et l'opposition qui devrait devenir majoritaire au Parlement après les élections », a-t-il ajouté.
L'ancien vice-président de la Chambre, Élie Ferzli, a, pour sa part, affirmé que « la réduction du mandat du président est inenvisageable ». « Je n'ai jamais entendu qui que ce soit parler d'une répartition des pouvoirs selon la règles des trois tiers. Nous restons fermement attachés à Taëf qui a établi la parité islamo-chrétienne », a-t-il ajouté.
Le 14 Mars a déploré hier par la voix de sa candidate à Beyrouth I, Nayla Tuéni, et du député Atef Majdalani « la campagne du 8 Mars contre la magistrature suprême ».La candidate du 14 Mars au siège grec-orthodoxe à Beyrouth I, Nayla Tuéni, a ainsi affirmé : « Nous voulons que le président de la République soit fort et qu'il puisse s'imposer comme référence. Ils s'en prennent à la magistrature suprême comme si tout leur était permis ! »Le député Atef Majdalani a, quant à lui, dénoncé ce qu'il a qualifié de « campagne programmée par le 8 Mars contre la présidence de la République, qui...
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