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Actualités - OPINION

Un émigré, un drapeau… Fouad J. TABET

Cette statue, censée représenter l’émigré libanais, trône à l’entrée de l’avenue Charles Hélou, à l’embranchement menant au port de Beyrouth. On la doit, par leurs contributions, aux Libanais du Mexique. À côté de la statue, un drapeau claque au vent. Un drapeau ? Oui, mais délavé, en loques, tenant tant bien que mal par quelques lambeaux, en attendant d’être déchiqueté. Ne serait-il pas plus adéquat : 1– D’entourer cette statue d’une série de drapeaux, de tous les pays d’émigration, qui seraient la fierté de nos émigrés. 2– De placer ces drapeaux sur des mâts bien plus hauts que celui existant et qui dominerait la statue, afin qu’elle reste visible. 3– De voir avec les départements en charge (éventuellement) de l’entretien de cette statue comment pouvoir assurer l’entretien de ces drapeaux qui, faute de surveillance, ne tarderaient pas eux aussi à devenir rachitiques ? Article paru le samedi 3 mai 2008

Cette statue, censée représenter l’émigré libanais, trône à l’entrée de l’avenue Charles Hélou, à l’embranchement menant au port de Beyrouth. On la doit, par leurs contributions, aux Libanais du Mexique. À côté de la statue, un drapeau claque au vent. Un drapeau ? Oui, mais délavé, en loques, tenant tant bien que mal par quelques lambeaux, en attendant d’être...