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Actualités - CHRONOLOGIE

Karamé : L’opposition pourrait prendre des mesures qui ne seront en faveur de personne

Trois personnalités de l’opposition proches de Damas sont montées au créneau, hier, pour mettre en garde contre « les plans de partition du Liban ». L’ancien Premier ministre Omar Karamé, qui a reçu tour à tour les ambassadeurs du Yémen et d’Égypte, et le chef du parti Solidarité Émile Rahmé, a signalé que « l’opposition prendra des mesures qui ne seront en faveur de personne si un accord autour de la présidence de la République n’était pas atteint. Car si, en date du 24 novembre, un président de consensus n’est pas élu et que la majorité impose sa loi, il ne faut pas s’attendre à ce que l’opposition garde les bras croisés ». De son côté, le chef du Parti de l’unification, Wi’am Wahhab, a rappelé que les projets d’un État druze remontent au XIXe siècle. « Sultan pacha el-Atrache a rejeté ce projet que lui avaient proposé les Français, et Kamal Joumblatt l’a également refusé dans les années 1970 », a souligné M. Wahhab. Et d’ajouter : « S’il y a aujourd’hui dans la communauté druze un Walid Joumblatt qui rêve d’un État druze, il y a aussi des Sultan el-Atrache ». L’ancien ministre Abdel-Rahim Mrad, chef du Parti de l’union, a pour sa part déclaré qu’il fera « tout (son) possible pour entraver les projets de partition du Liban ».
Trois personnalités de l’opposition proches de Damas sont montées au créneau, hier, pour mettre en garde contre « les plans de partition du Liban ». L’ancien Premier ministre Omar Karamé, qui a reçu tour à tour les ambassadeurs du Yémen et d’Égypte, et le chef du parti Solidarité Émile Rahmé, a signalé que « l’opposition prendra des mesures qui ne seront en...