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Une étude souligne la nécessité de prévenir les risques cardio-métaboliques pour une meilleure santé du cœur

Les médecins sont désormais de plus en plus sensibles au lien existant entre la graisse abdominale et les maladies cardio-vasculaires. C’est ce qui ressort de l’étude « Des nations en forme 2007 » rendue publique récemment, à l’occasion de la Journée mondiale du cœur. Menée sur plus de 11 000 patients dans 28 pays, l’étude visait à mesurer la prise de conscience, la compréhension et les comportements respectueux vis-à-vis des facteurs de risque cardio-métaboliques (risque global de développer un diabète de type 2 et une maladie cardio-vasculaire) chez les médecins généralistes, les patients à risque et la population générale. L’étude a ainsi montré que les médecins détectent et prennent en charge plus les facteurs de risque cardio-vasculaires et métaboliques classiques tels le diabète de type 2, un taux élevé du mauvais cholestérol et l’hypertension que les facteurs de risque émergents comme l’obésité abdominale, un niveau bas du bon cholestérol dans le sang (HDL-cholestérol) et les triglycérides. De même, quelque 80 % d’entre eux considèrent que leurs patients ne sont pas bien sensibilisés et éduqués sur les façons de réduire les facteurs de risque des maladies cardio-vasculaires et métaboliques. L’étude a également montré que les médecins estiment que les facteurs de risque comme le diabète de type 2, l’hypertension, l’hypercholestérolémie et le tabagisme représentent le plus grand risque d’atteinte des maladies du cœur. Ils considèrent de même que les facteurs de risque cardio-métaboliques, tels que l’obésité abdominale, un taux élevé de triglycéride et un niveau bas du bon cholestérol, ne représentent pas un problème en soi. En ce qui concerne la population générale et les patients, l’étude a relevé que 6 % de la population générale et 11 % des patients à risque reconnaissent que le diabète du type 2 est un facteur de risque cardio-métabolique. En outre, un patient à risque sur trois rapporte que ses facteurs de risque cardio-métaboliques n’ont jamais été mesurés. « Des nations en forme 2007 » est une initiative commune entre Sanofi-Aventis, la Fédération mondiale du cœur, l’Association internationale pour l’étude du diabète et la Fédération internationale du diabète.
Les médecins sont désormais de plus en plus sensibles au lien existant entre la graisse abdominale et les maladies cardio-vasculaires. C’est ce qui ressort de l’étude « Des nations en forme 2007 » rendue publique récemment, à l’occasion de la Journée mondiale du cœur.
Menée sur plus de 11 000 patients dans 28 pays, l’étude visait à mesurer la prise de...