Effacé le charme du professeur Keating, anticonformiste, qui poussait ses élèves à tracer...
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Focus Robin Williams avant et après
le 13 septembre 2007 à 00h00
Le rideau est tombé et Robin Williams n’a qu’à aller se rhabiller. Son dernier rôle de révérend père dans Permis de mariage (allusion en anglais au titre des James Bond) déçoit. Prêtre attentionné mais voyeur, moderne mais tellement obsolète, risible mais pas comique du tout.
Effacé le charme du professeur Keating, anticonformiste, qui poussait ses élèves à tracer leur propre chemin dans Le cercle des poètes disparus. Oubliée aussi sa prestation dans Good Morning Vietnam qui lui avait fait acquérir le statut de star internationale. Balayés les rôles dramatiques qu’il avait si bien incarnés dans L’Éveil (1990) ou Fisher King (1991).
Tour à tour Peter Pan pour Spielberg, Madame Doubtfire pour Chris Colombus, héros malencontreux dans Jumanji ou marchand de jouets dans Toys, Robin Williams n’est plus aujourd’hui que la parodie de lui-même. L’acteur, en perte de vitesse, se cherche... pour ne se retrouver que dans des films de second ordre.
Ovni tombé de l’espace dans l’univers cinématographique. Mork cherchant Mindy ? Certainement. Mais, dommage. Mindy ne reconnaît plus du tout Mork.
Le rideau est tombé et Robin Williams n’a qu’à aller se rhabiller. Son dernier rôle de révérend père dans Permis de mariage (allusion en anglais au titre des James Bond) déçoit. Prêtre attentionné mais voyeur, moderne mais tellement obsolète, risible mais pas comique du tout.
Effacé le charme du professeur Keating, anticonformiste, qui poussait ses élèves à tracer...
Effacé le charme du professeur Keating, anticonformiste, qui poussait ses élèves à tracer...
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