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C’est la faute aux Américains, affirme Fadlallah
le 18 août 2007 à 00h00
L’uléma Mohammad Hussein Fadlallah a estimé hier qu’« au Liban, les États-Unis et, avec eux, plus d’un État européen et arabe continuent d’empêcher toute solution réaliste à la crise ». « Si bien que certains pays européens, qui avaient offert certaines solutions et planifié pour trouver une situation de stabilité politique au Liban, ont reculé après avoir reçu des pressions américaines directes et indirectes », a indiqué sayyed Fadlallah, dans son prêche du vendredi à Haret Hreik. « C’est ainsi que nous avons vu certains pays arabes, qui avaient parlé de solution, changer de position compte tenu des plans américains. Et voilà que les polémiques politiques gouvernent le pays et orientent la situation générale vers des futilités qui pourraient dégénérer en chaos planifié par le président Bush. On pourrait en arriver à un deuxième gouvernement ou un vide constitutionnel, ce qui conduira à davantage de dangers. Or les Libanais n’ont aucun moyen de s’en sortir, en raison des ingérences internationales qui ne veulent pas que le Liban soit stable », a ajouté Mohammad Hussein Fadlallah.
L’uléma Mohammad Hussein Fadlallah a estimé hier qu’« au Liban, les États-Unis et, avec eux, plus d’un État européen et arabe continuent d’empêcher toute solution réaliste à la crise ». « Si bien que certains pays européens, qui avaient offert certaines solutions et planifié pour trouver une situation de stabilité politique au Liban, ont reculé après avoir reçu des...
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