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Banque mondiale Wolfowitz tente une dernière riposte
le 16 mai 2007 à 00h00
Accusé officiellement d’avoir violé les règles de la Banque mondiale, son président Paul Wolfowitz tente une dernière fois de se défendre des accusations de népotisme qui le visent alors que le soutien de la Maison-Blanche semble s’éroder. L’ancien n° 2 du Pentagone, accusé d’avoir assuré personnellement l’avancement de sa compagne Shaha Riza, également employée de l’institution multilatérale, devait se présenter devant les membres du conseil d’administation de la Banque à 17h00 (21h00 GMT). « Encore une fois, nous le soutenons, mais (...) il a dit qu’il était prêt à s’asseoir à la même table que les membres de la Banque mondiale pour essayer de trouver le moyen approprié de servir les meilleurs intérêts de l’institution », a déclaré hier le porte-parole de la présidence américaine, Tony Snow. M. Snow s’est défendu d’adresser là un message de confiance brouillé à M. Wolfowitz, après la publication d’un rapport accablant pour l’intéressé. Dans un document de 52 pages, un petit groupe d’administrateurs, désignés par le conseil d’administration de la Banque pour examiner ces accusations, a conclu que M. Wolfowitz avait violé les termes de son contrat de travail, le code de conduite de l’institution et trois des règles s’appliquant au personnel.
Accusé officiellement d’avoir violé les règles de la Banque mondiale, son président Paul Wolfowitz tente une dernière fois de se défendre des accusations de népotisme qui le visent alors que le soutien de la Maison-Blanche semble s’éroder. L’ancien n° 2 du Pentagone, accusé d’avoir assuré personnellement l’avancement de sa compagne Shaha Riza, également employée...
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