En passe de ravir aux États-Unis la première place d’émetteur des gaz à effet de serre, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), la Chine s’est logiquement retrouvée la semaine dernière sous les projecteurs de la réunion des experts du climat à Bangkok. Mais les observateurs les plus pessimistes ont ouvertement douté de sa capacité à prendre des mesures...
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La Chine en première ligne
le 11 mai 2007 à 00h00
En passe de ravir aux États-Unis la première place d’émetteur des gaz à effet de serre, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), la Chine s’est logiquement retrouvée la semaine dernière sous les projecteurs de la réunion des experts du climat à Bangkok. Mais les observateurs les plus pessimistes ont ouvertement douté de sa capacité à prendre des mesures efficaces dans ce domaine, l’accusant d’obstruction pour sauvegarder les intérêts d’un pays dont l’énergie repose à 70 % sur le charbon.
Pékin s’est fixé comme objectif d’améliorer l’efficacité énergétique de 20 % entre 2006 et 2010 et de réduire de 10 % les principales émissions de polluants. L’année dernière, les objectifs n’ont pas été remplis.
Cette année, Pékin vit en outre son été le plus précoce depuis 36 ans, signe supplémentaire du réchauffement climatique en Chine.
En passe de ravir aux États-Unis la première place d’émetteur des gaz à effet de serre, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), la Chine s’est logiquement retrouvée la semaine dernière sous les projecteurs de la réunion des experts du climat à Bangkok. Mais les observateurs les plus pessimistes ont ouvertement douté de sa capacité à prendre des mesures...
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