Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIE

ALTA MODA Tony Ward sous le signe de Baudelaire

Fidèle à Rome depuis le début de sa carrière, c’est encore le podium d’Alta Moda que le couturier libanais Tony Ward a choisi pour présenter sa collection printemps-été 2007. «Un éclair, et puis la nuit», quelques vers de Baudelaire pour exprimer le regard de Ward sur la femme, en exergue de ce défilé-spectacle d’une incroyable profusion. Fils de couturier, c’est dans le froissement du taffetas et le murmure des machines à coudre de l’atelier familial que Ward a trouvé sa vocation. Deux atouts majeurs ont contribué, discrètement mais sûrement, à la réputation de ce quadra aux allures de gladiateur : l’art des emmanchures, un secret-maison, et l’usage de tissus inédits, souvent peints à la main dans des ateliers italiens. Sa collection pour la saison à venir célèbre la femme en tant qu’apparition et cherche, tantôt dans des camaïeux de miel et tantôt dans les bleus, sans négliger l’incontournable effet graphique du noir et du blanc, à créer des effets de visions fugitives. Un éclair, et puis la nuit ?

Fidèle à Rome depuis le début de sa carrière, c’est encore le podium d’Alta Moda que le couturier libanais Tony Ward a choisi pour présenter sa collection printemps-été 2007. «Un éclair, et puis la nuit», quelques vers de Baudelaire pour exprimer le regard de Ward sur la femme, en exergue de ce défilé-spectacle d’une incroyable profusion. Fils de couturier, c’est...