C’était presque fête nationale, hier, à Koweït City. Quelques secondes à peine après que les résultats se furent affichés en bleu sur les écrans de la LBCI (57 % pour le Koweïtien Bachar et 43 % pour le Saoudien Khalawi), la quasi-totalité des habitants de la capitale de l’émirat est descendue dans les rues, les voitures ont carrément bouché les artères principales, tandis que les drapeaux du Liban et du Koweït flottaient par dizaines, et que les feux d’artifice flirtaient avec les étoiles. Que serait-ce si le jeune et talentueux Bachar remportait, dans deux semaines, la finale de cette Star Academy made in Lebanon, que la LBCI a réussi à imposer, contre vents, marées et fatwas, dans le monde arabe enfin fédéré ?
C’était presque fête nationale, hier, à Koweït City. Quelques secondes à peine après que les résultats se furent affichés en bleu sur les écrans de la LBCI (57 % pour le Koweïtien Bachar et 43 % pour le Saoudien Khalawi), la quasi-totalité des habitants de la capitale de l’émirat est descendue dans les rues, les voitures ont carrément bouché les artères principales,...
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