Vrai ou faux ?
• Il faut forcer les enfants qui n’ont pas d’appétit à manger
Faux. Il existe des enfants dits «petits mangeurs» et dont la quantité de nourriture prise au quotidien est inférieure à celle consommée par d’autres enfants du même âge. Il ne faut pas paniquer même si le poids et la taille de l’enfant sont sensiblement inférieurs à la moyenne. Rien ne pousse à l’inquiétude tant que l’enfant est en bonne santé et qu’il a de l’énergie pour étudier et jouer. Les parents doivent toutefois s’assurer que le manque d’appétit n’est pas dû à une maladie cachée, une infection urinaire ou une infection ORL à titre d’exemple, ou encore à cause d’un problème psychologique à l’école ou au sein de la famille (jalousie, relation mère-enfant ou père-enfant).
• Les femmes ont des besoins en fer supérieurs à ceux des hommes
Vrai. Les besoins de la femme en fer sont pratiquement le double de ceux de l’homme. Un homme a besoin de 11 mg de fer par jour, alors que la femme en a besoin de 18 mg au quotidien. Cela est dû au fait que depuis la puberté et jusqu’à la ménopause, le fer est perdu par le sang des menstruations. Il convient de noter que l’anémie due à une carence en fer est la plus répandue dans le monde.
• Le yaourt est aussi riche en calcium que le lait
Vrai. Un verre de lait ou de yaourt de 240 ml contient près de 300 mg de calcium, sachant que les besoins journaliers en calcium varient entre 800 et 1 200 mg selon l’âge de la personne et son sexe. Le yaourt est conseillé notamment aux personnes souffrant d’une intolérance au lactose contenu dans le lait.
* Ces réponses nous ont été fournies par Mme Carla Habib Mourad, diététicienne.
• Il faut forcer les enfants qui n’ont pas d’appétit à manger
Faux. Il existe des enfants dits «petits mangeurs» et dont la quantité de nourriture prise au quotidien est inférieure à celle consommée par d’autres enfants du même âge. Il ne faut pas paniquer même si le poids et la taille de l’enfant sont sensiblement inférieurs à la moyenne. Rien ne pousse à l’inquiétude tant que l’enfant est en bonne santé et qu’il a de l’énergie pour étudier et jouer. Les parents doivent toutefois s’assurer que le manque d’appétit n’est pas dû à une maladie cachée, une infection urinaire ou une infection ORL à titre d’exemple, ou encore à cause d’un problème psychologique à l’école ou au sein de la famille (jalousie, relation mère-enfant ou père-enfant).
Cet article est réservé aux abonnés. Abonnez-vous pour 1$ et accédez à une information indépendante.
Dans votre abonnement numérique : la version PDF du quotidien L’Orient-Le Jour, des newsletters réservées aux abonnés ainsi qu'un accès illimité à 3 médias en ligne : L’Orient-Le Jour, L’Orient Today et L’Orient Littéraire.