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Services publics Le compte à rebours pour la privatisation du cellulaire a commencé

Comme prévu, c’est hier qu’a eu lieu l’ouverture des plis relatifs à l’appel d’offres international lancé par le gouvernement en vue de la privatisation de la téléphonie mobile. L’appel d’offres, rappelle-t-on, porte aussi bien sur des enchères (pour la vente de deux licences d’exploitation) que sur une adjudication (pour la conclusion d’un contrat de gestion pour le compte de l’État, qui resterait dans ce cas propriétaire du réseau). La commission technique ad hoc chargée d’ouvrir les plis et d’examiner les offres a reçu hier les dossiers présentés par quatre des six sociétés qui étaient en lice : la compagnie française Orange ; LibanCell ; Investcom (groupe Mikati) et la société allemande Detecom. L’opérateur grec OTE et la société koweïtienne MTC se sont retirés avant l’expiration du délai pour la présentation des offres. La société koweïtienne s’est retirée de la course pour protester contre le fait que le gouvernement s’est abstenu de prendre en considération ses observations au sujet de l’appel d’offres. La commission technique a un délai de trois jours pour présenter son rapport, après examen des offres, au ministre des Télécommunications, Jean-Louis Cardahi, et au Conseil supérieur pour la privatisation, qui transmettront alors leurs recommandations au Conseil des ministres. Sur l’insistance de M. Cardahi, le gouvernement sera appelé à trancher en tenant compte non seulement du volet financier des offres, mais également de l’aspect qualitatif, dans le but de garantir le développement futur du secteur.
Comme prévu, c’est hier qu’a eu lieu l’ouverture des plis relatifs à l’appel d’offres international lancé par le gouvernement en vue de la privatisation de la téléphonie mobile. L’appel d’offres, rappelle-t-on, porte aussi bien sur des enchères (pour la vente de deux licences d’exploitation) que sur une adjudication (pour la conclusion d’un contrat de gestion...