Pour la première fois depuis la création de la Journée mondiale de l’environnement en 1972, les Nations unies ont choisi une ville arabe, en l’occurrence Beyrouth, pour y organiser leurs célébrations. Cette journée, qui tombe aujourd’hui, sera marquée par la conférence de presse que tiendra le ministre de l’Environnement, Farès Boueiz, le directeur exécutif du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), Klaus Toepfer, au Liban depuis hier, et la secrétaire exécutive de l’Escwa, Mervat Tallawi, à la Maison des Nations unies à 12h30.
La longue journée commencera par une conférence intitulée « Gestion de l’eau et lutte contre la pauvreté », que donneront à l’hôtel Phoenicia des experts hydrauliques, et que dirigera le directeur général du ministère de l’Environnement, Berge Hatjian, en présence de M. Toepfer et de Mme Tallawi.
À 20h, le directeur exécutif du PNUE remettra leurs récompenses aux lauréats (dont un Libanais) du prix Global 500, que décerne chaque année cette institution à des personnes ou des organisations ayant mené une action significative dans le domaine de l’environnement.
Une journée consacrée à l’environnement, c’est aussi une occasion de dresser des bilans, pas toujours positifs, qu’il s’agisse de la dégradation des ressources ou des efforts constants pour les préserver.
Notre dossier page 5
Pour la première fois depuis la création de la Journée mondiale de l’environnement en 1972, les Nations unies ont choisi une ville arabe, en l’occurrence Beyrouth, pour y organiser leurs célébrations. Cette journée, qui tombe aujourd’hui, sera marquée par la conférence de presse que tiendra le ministre de l’Environnement, Farès Boueiz, le directeur exécutif du...
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