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Nammar : « Le réseau routier, un capital national à préserver »
le 01 juillet 2002 à 00h00
Le directeur général des routes et bâtiments au ministère des Travaux publics, Fadi Nammar, a estimé que le réseau routier constitue « un capital national qu’il faut préserver à tout prix ». « La guerre, la densité de la circulation, les poids lourds ont contribué, d’une manière ou d’une autre, à détériorer l’état des routes au Liban. Pour faire face à cette situation, nous avons mis au point un programme annuel permettant un suivi constant de l’état du réseau routier dans toutes les régions libanaises et définissant les dates exactes des opérations de réhabilitation à effectuer, compte tenu des priorités et des disponibilités financières », a ajouté M. Nammar dans une conférence donnée hier au centre socioculturel Bassel Assad, à Baalbeck. M. Nammar, qui avait procédé à une tournée d’inspection des routes de la région, notamment les routes principales et celles menant à la citadelle, accompagné d’un groupe d’ingénieurs et du président du conseil municipal de Baalbeck, Ghaleb Yaghi, a précisé que le réseau routier libanais est long de près de 6 500 kilomètres, dont 530 de routes internationales, 1 650 de routes principales, 1 340 de routes secondaires et 2 950 de routes locales.
Le directeur général des routes et bâtiments au ministère des Travaux publics, Fadi Nammar, a estimé que le réseau routier constitue « un capital national qu’il faut préserver à tout prix ». « La guerre, la densité de la circulation, les poids lourds ont contribué, d’une manière ou d’une autre, à détériorer l’état des routes au Liban. Pour faire face à cette...
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