Actualités - CHRONOLOGIES
FESTIVAL DE BEITEDDINE - L’Orchestre national de Lille sous la direction de Jean-Claude Casadesus - Le « Requiem de Verdi », ce somptueux - et fervent opéra de la mort…
Par DAVIDIAN Edgar, le 19 juillet 2001 à 00h00
Une œuvre somptueuse, terrible et fascinante. La musique, avec le «Requiem de Verdi», atteint des sommets vertigineux et des profondeurs abyssales. Donné dans le cadre princier de Beiteddine par l’Orchestre national de Lille (région Nord/Pas-de-Calais) et le chœur de l’Orchestre de Paris, sous la direction de Jean-Claude Casadesus, ainsi que des solistes haut de gamme (Kathleen Cassello, Grace Bumbry – qui fut une inoubliable Aïda – James Wagner, Simon Estes), ce requiem grandiose, une des plus émouvantes partitions de musique sacrée, a une résonance particulièrement saisissante sous le firmament d’un noir de velours du Chouf avec ces grands cyprès solitaires qui se dressent silencieusement à flanc de montagne…
Une œuvre somptueuse, terrible et fascinante. La musique, avec le «Requiem de Verdi», atteint des sommets vertigineux et des profondeurs abyssales. Donné dans le cadre princier de Beiteddine par l’Orchestre national de Lille (région Nord/Pas-de-Calais) et le chœur de l’Orchestre de Paris, sous la direction de Jean-Claude Casadesus, ainsi que des solistes haut de gamme...
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