Actualités - REPORTAGE
Messes noires et psychodrame ...
Par GABRIEL Jean Claude, le 19 novembre 1998 à 00h00
Les rites sataniques sont variés. Ils sont organisés en fonction de l’objectif à atteindre. Ils comportent des «gestes» et des «paroles» pour provoquer un «envoûtement», «aider les autres ou soi-même à accomplir leurs désirs» ou, en dégageant de «l’énergie», servir à la «vengeance». Ils se font généralement la nuit, dans la discrétion, à côté de lieux ou sites abandonnés (églises, ruines…) ou suggestifs (cimetières…) et selon un cérémonial utilisant des symboles: la tête de bouc, l’étoile à 5 branches, des cierges, un calice, une épée, un aspersoir, un crucifix renversé, une hostie «consacrée…» Les personnages sont habillés en noir et portent des capuchons. Une femme nue est déposée sur une table (elle sert d’autel). Les prières se font en latin, français ou anglais. Le nom de Satan est invoqué et loué, ainsi que d’autres démons… Des pratiques sexuelles (hétero, homo…) font partie de la cérémonie ou «messe noire». Le nombre de personnes qui assistent le célébrant (on parle de diacre et de sous-diacre aussi) serait de 12 (nombre des apôtres). Certains parlent d’un «cénacle de 8 personnes», de 10 ou 20. Mieux vaudrait être peu nombreux, paraît-il, pour «concentrer toutes les énergies dans la même direction». Il est également fait allusion à un contrat avec Satan par le sang, en inscrivant sur soi-même 3 fois le chiffre 6 soit 666… Il est toujours fait allusion aux symboles dans la mythologie, dans les croyances des sociétés primitives ou contemporaines, et le même symbole peut parfois vouloir dire autre chose, d’une société à une autre ou d’une civilisation à une autre… Les rites sataniques peuvent parfois aboutir à des actes physiques violents, voire l’incitation au «suicide». On parle même «d’homicides».
Les rites sataniques sont variés. Ils sont organisés en fonction de l’objectif à atteindre. Ils comportent des «gestes» et des «paroles» pour provoquer un «envoûtement», «aider les autres ou soi-même à accomplir leurs désirs» ou, en dégageant de «l’énergie», servir à la «vengeance». Ils se font généralement la nuit, dans la discrétion, à côté de lieux ou sites abandonnés (églises, ruines…) ou suggestifs (cimetières…) et selon un cérémonial utilisant des symboles: la tête de bouc, l’étoile à 5 branches, des cierges, un calice, une épée, un aspersoir, un crucifix renversé, une hostie «consacrée…» Les personnages sont habillés en noir et portent des capuchons. Une femme nue est déposée sur une table (elle sert d’autel). Les prières se font en latin, français ou anglais. Le nom de...
Les plus commentés
Corruption : au Liban-Nord, « jusqu'à 500 dollars » pour un vote
Levée des sanctions américaines : la roue tourne pour Chareh
Pourquoi Joseph Aoun ne participera pas au sommet arabe de Bagdad