Le président russe Boris Eltsine a confirmé vendredi son opposition à tout usage de la force contre l’Irak, tout en rendant Bagdad responsable de la crise actuelle entre l’Onu et les autorités irakiennes, a indiqué le porte-parole du Kremlin Dmitri Iakouchkine. «Si l’on ne trouve pas rapidement une solution politique, le risque d’un usage de la force est réel», a dit M. Iakouchkine, citant Boris Eltsine. «La Russie est catégoriquement contre la solution de force», a-t-il ajouté, tout en indiquant que «la décision de Bagdad d’interrompre sa coopération avec la commission spéciale de l’Onu a porté un coup sévère au processus de normalisation». La Russie s’était félicitée d’avoir joué un rôle clé pour le règlement pacifique de la dernière crise irakienne, permettant à Bagdad et l’Onu de conclure le 23 février un accord prévoyant des modalités spécifiques pour l’inspection des sites dits présidentiels, soupçonnés d’abriter des armes de destruction massive.
Le président russe Boris Eltsine a confirmé vendredi son opposition à tout usage de la force contre l’Irak, tout en rendant Bagdad responsable de la crise actuelle entre l’Onu et les autorités irakiennes, a indiqué le porte-parole du Kremlin Dmitri Iakouchkine. «Si l’on ne trouve pas rapidement une solution politique, le risque d’un usage de la force est réel», a dit M. Iakouchkine, citant Boris Eltsine. «La Russie est catégoriquement contre la solution de force», a-t-il ajouté, tout en indiquant que «la décision de Bagdad d’interrompre sa coopération avec la commission spéciale de l’Onu a porté un coup sévère au processus de normalisation». La Russie s’était félicitée d’avoir joué un rôle clé pour le règlement pacifique de la dernière crise irakienne, permettant à Bagdad et l’Onu de...
