Selon des récits de témoins rapportés mercredi par les médias burundais, l’armée gouvernementale a massacré 178 civils les 3 et 4 novembre dans un village reculé des collines situées au sud de Bujumbura. L’information n’a pu être confirmée auprès du gouvernement ou de l’état-major. Mais si elle se vérifiait, il s’agirait du massacre le plus sanglant commis ces dernières années dans ce pays de l’Afrique des Grands Lacs et de l’acte de violence le plus grave depuis le début, en juin, des pourparlers de paix entre le pouvoir tutsi et les rebelles hutus.
Selon des récits de témoins rapportés mercredi par les médias burundais, l’armée gouvernementale a massacré 178 civils les 3 et 4 novembre dans un village reculé des collines situées au sud de Bujumbura. L’information n’a pu être confirmée auprès du gouvernement ou de l’état-major. Mais si elle se vérifiait, il s’agirait du massacre le plus sanglant commis ces dernières années dans ce pays de l’Afrique des Grands Lacs et de l’acte de violence le plus grave depuis le début, en juin, des pourparlers de paix entre le pouvoir tutsi et les rebelles hutus.
La présidence de la Fédération des municipalités de Zghorta remportée par les Marada et le CPL